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 Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.

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Catherina Vanhoover
IDENTITY CARD

« Catherina Vanhoover »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Catherina Vanhoover
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 34
→ LIEU DE RÉSIDENCE : ::
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Etudiante en prépa littéraire



MessageSujet: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyVen 27 Jan - 11:45


Catherina Vanhoover
Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 00424
NOMS : réponse; Catherina : Vanhoover ÂGE : 22 ans; LIEU DE NAISSANCE : Londres; STATUT : Célibataire; ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel; ÉTUDES / EMPLOI : étudiante en prépa littéraire et futur bibliothécaire, elle chante également dans un bar le weekend.J'AIME PAS: Le bruit, l'égoïsme, l'hypocrisie, les jours d'hiver sans soleil, la tristesse de mon père, les vantards, les gens adepte de l'auto-destruction, l'avarice. ; J'AIME : Le silence, l'art, jouer des heures durant de la guitare, la lecture, ses études, le froid et son soleil, observer le ciel étoilé les nuits d'hivers, chanter, rester durant des heures à errer dans les musées, errer.; CONFRÉRIE : Citoyen; CRÉDIT BANNIÈRE : tumblr;

Taking picture of you :

Ce que je suis… Il me semble que répondre à cette question dans sa totalité demeure quelque chose d’absolument impossible et je refuse encore aujourd’hui de croire que l’on peut se contenter de d’écrire une personne par de simples traits de caractère qui, bien que certains puissent être le fondement de la personnalité restent néanmoins instables et obscurs. Après tout, l’être humain est en perpétuel changement et ce qui nous défini aujourd’hui sera peut-être différent demain enfin, malgré tout, je tenterais de vous fournir quelques informations dont vous n’en ferez j’en suis certaine, aucun usage. Pourquoi dire cela ? Car aujourd’hui et ce depuis des années je demeure la jeune femme à laquelle on ne prête guère attention, je suis la transparence absolue et, à ce jour, je n’ai encore rencontré personne désireux de véritablement me connaître et possédant la ténacité nécessaire pour aller voir au-delà de ce que je montre habituellement. Par ces mots déroutants j’entends que je suis une jeune femme avant tout secrète et amoureuse de la solitude. En vérité, je n’apprécie pas que l’on s’intéresse à moi et je me contente depuis des années de jouer la prude innocente sans grand-chose dans la cervelle. Je dois dire que cela fonctionne plutôt bien et je remercie mon physique typique de petite blonde écervelée de m’aider à conserver cette identité de niaise incapable de voir plus loin que le bout de son nez tout comme je remercie la connerie des gens. En effet, connaissez-vous beaucoup de personnes allant au-delà des apparences ? Si tel est le cas, ne les lâchez pas, ces personnes là sont tellement rares de nos jours. Enfin, je m’égare comme à mon habitude. Egarer… Tient et si je partais de ce mot ? Oui, je crois que tout commence par cela, par cet ‘égarement ‘ qui eu toujours le don d’agacer mon proche entourage. Car je suis en perpétuelle égarement, telle la petite feuille d’automne se laissant porter par le vent je suis incapable de me fixer plus d’une seconde et de suivre un chemin défini par une tierce personne. En vérité, je ne trouve ma place nulle part et je fais partie des petites rêveuses qui prenne plaisir à se perdre sans jamais chercher à se retrouver ou à se trouver. Je suis perdue et je me laisse distraire par tout et n’importe quoi à croire que mon esprit refuse dramatiquement de ce connecter à la réalité. La réalité… Voilà quelque chose que je déteste par-dessus tout et qui génère en moi des pulsions dépressionnaires absolument infectes pour ma santé mentale déjà bien fragile. Vraiment, n’y a-t-il pas plus glauque que la réalité ? Regarder, il suffit d’ouvrir les yeux pour voir le mal qu’est l’humanité, pour constater que notre société est pourri jusqu’à la moelle, qu’elle est son propre poison et que l’homme est une machine cruelle tendant plus aisément vers le mal que vers le bien.
Il me parait alors logique qu’en partant de cette constatation j’ai décidé de coupé court avec la réalité afin de me bâtir mon propre monde. Oh non, ne croyez pas que je fasse partie de ces êtres à tendance schizophrénique ou encore de ces jeunes perdu dans un mal-être profond et ayant choisi de fuir la réalité en se pourrissant la santé oh que non ! Quand je parle d’un autre monde je parle d’art. Oui, d’art, une porte sereine et saine qui m’emmène loin dans le pays de l’imaginaire. Je suis restée une enfant voyez-vous, une enfant rêveuse qui à trouvé la meilleur des cachettes et qui se planque dans les bibliothèques afin de trouver son bonheur du coté des mots et des illusions. Ainsi, je suis une lectrice acharnée, une passionnée s’intéressant à toutes sortes de littérature. Une curieuse qui s’éveille à la lumière de la poésie et qui vit au rythme des histoires fantastiques, une petite enfant qui vit de folles aventures à travers le regard de ces personnages fétiches et qui se satisfait de cette simplicité de vie.

Pour cette raison, de nombreuses personnes m’ont qualifiés d’insociable ou je cite « d’inapte à la vie en société » phrase qui m’a toujours fait doucement sourire car cela est bien évidemment faux. Je suis tout simplement différente et mes centres d’intérêts ont toujours été aux antipodes de ceux des jeunes de mon âge si bien que je n’ai jamais véritablement su trouver ma place avec eux. Ainsi, j’ai laissé aux autres le soin de me coller l’étiquette de la ‘petite intello de la classe ‘ qui ne possède aucune vie sociale afin d’être sur d’assurer ma tranquillité. Mais attention, cela ne signifie en aucun cas que je laisse les gens me traiter de tous les noms ou encore me manquer de respect. Et oui, sous mes apparences de petite fille timide qui ne possède aucun sens de la répartie ce cache en réalité une personne de caractère qui sait montrer les griffes lorsque cela s’avère nécessaire. Ainsi, je n’hésite jamais à hausser le ton lorsque l’on m’importune et j’ai toujours fait en sorte de maintenir une distance de sécurité entre les autres et moi. J’ai donc toujours été la ‘bête noire’ qu’on observait d’un drôle d’air mais à laquelle on ne se frottait jamais tant les représailles pouvaient s’avérer vicieux et violents. Je corresponds ainsi parfaitement à cette adage : il faut se méfier de l’eau qui dors.
Mais si je ne m’entends que rarement avec les personnes de mon âge n’allez pas pour autant croire que je suis une sauvage bien au contraire je suis même relativement sympathique lorsque l’on ce décide à me connaître véritablement. Généreuse et extravertie j’aime me laisser aller au plaisir du rire qui ne s’arrête jamais et adore pouvoir partager mes passions avec quiconque voudrait s’y intéresser. Et des passions j’en possède tant ! Il faut dire que préférer rester chez soit à la saveur de la vie nocturne offre du temps, temps que j’ai toujours aimé comblé en apprenant mainte et mainte chose. Je suis ainsi une très bonne musicienne et je n’ai de cesse de promener ma vieille guitare à travers mes « égarement nocturnes ou journaliers ». De plus, j’ai également développé un goût prononcé pour la peinture domaine dans lequel je ne suis hélas que très peu doué. Pour compenser, il met donc vitale de trainer dans les musées dans lesquels je pourrais aisément rester des journées entières à me régaler les yeux de ces œuvres multiples contribuant à nourrir mon imagination débordante.

Comme précédemment dit, j’ai gardé une âme d’enfant et, c’est sans surprise que je vous annonce m’entendre particulièrement bien avec eux. Ainsi, j’ai passé le plus clair de mon adolescence à multiplier les gardes d’enfants de gauche à droite afin, certes, de gagner un peu d’argent mais également parce que garder un contact avec cette insouciance liée à l’enfance m’a toujours été d’une aide vitale afin de parvenir à supporter les douleurs de ma propre réalité. Et oui, bien que je veuille passer pour un être fort et sans faille je ne fus pas non plus épargnée par la vie et les malheurs que cette dernière sait parfois vous apporter. Pour tenir face à cela il m’est important de me sentir utile et j’aime particulièrement les enfants pour cela. Je me sens mère ou grande sœur et pouvoir guérir leurs petits problèmes de mon sourire rayonnant m’a toujours apporté un bien être immense qui me fait me sentir plus forte pour aller de l’avant quoi qu’il arrive. Je crois que l’on peut appeler cela de l’optimisme ou peut-être de la détermination je ne le sais. Quoi qu’il en soit, je ne suis pas du genre à me laisser abattre par l’adversité et je reste convaincu qu’après la pluie vient toujours le beau temps. Peut-être est-ce pour cela qu’il est bien rare de me voir me laisser aller à des instants de tristesses ou de mélancolies tout comme il est rare de voir mon sourire disparaitre de mes lèvres. Toujours rivé sur mon visage il repousse la douleur et fait un jolie pied de nez à tout ceux et celles qui voudraient me voir malheureuse. Mon sourire est une revanche, une revanche sur ma propre vie et une barrière qui empêche les autres de trop vouloir en savoir sur moi. Si je souris c’est que tout va bien non ? Oh, jolie petite fille sans histoire…

Comme vous l’aurez très certainement compris je possède un certain sens de l’humour noir que vous pourriez également nommer cynisme. Certains dirons que je suis arrogante et que je me sens certainement supérieur de part ma culture et ma maîtrise des mots critiques auxquelles je répondrais bien entendu faux. Je suis bien loin d’être imbue de moi-même et jamais je ne me permettrais de me montrer présomptueuse oh que non. Simplement, mon cynisme est, une fois encore, un moyen de me protéger, une manière certes agaçante, de tous tourner en dérision afin de dégager le caractère mélodramatique à tendance comique de toutes situations quand bien même ces dernières fussent terribles. Comme le disait ce tendre Beckett, « rien n’est plus drôle que le malheur » et ce moquer de ce dernier est une manière comme une autre de couper net avec la réalité, de s’en sortir avec le sourire parce que parvenir à demeurer heureuse dans les moments d’infortunes reste, selon moi, la plus belle des revanches sur la vie.
Néanmoins, je pourrais tout de même me montrer très désagréable avec quelqu’un qui tenterait de me tenir tête ou te me blesser dans ma fierté. Comme déjà signifié, j’ai un fort caractère et, comme tout être je possède une certaine fierté qu’il ne faut pas s’amuser à froisser sous peine de représailles. De plus, je suis extrêmement rancunière et d’une nature intolérante envers ceux qui s’attaqueraient à moi ou à ceux que j’aime. Car, bien que je sois une solitaire il m’arrive néanmoins de m’attacher et lorsque j’aime, j’aime à 100% et je me montre d’une fidélité exemplaire. Je suis ainsi une personne de confiance, sur qui on peut se reposer et qui ne trahirais jamais cependant, je ne pardonne pas, pas même une fois et je n’offre jamais une seconde chance à celui ou celle qui oserait me trahir, raison pour laquelle je n’offre ma confiance qu’à de rares personnes, personnes que j’aurais eu le temps d’étudier et d’analyser fin de savoir si je peux véritablement me fier à elle ou non.

Sans doute pourrais-je encore parler longtemps de moi ainsi, de mes goûts, de mes aspirations, de mes illusions aussi cependant, j’estime déjà vous en avoir trop dit. Pour le reste, je vous laisse grand soin d’essayer d’apprendre à me connaitre pour cerner au mieux l’étrange personnage paradoxale que je suis. D’avance je vous souhaite, un bon courage.


The pursuit of happiness :

Les histoires… J’ai toujours adoré en raconter mais je suis bien loin d’être aussi à l’aise avec les mots quant il s’agit de narrer mon propre passé. Un passé sur lequel je ne reviens que rarement et dont je ne tire que les moments les plus joyeux afin de trouver la force nécessaire d’aller de l’avant, toujours. Pourrais-je alors faire cela ? Vous présenter mon histoire comme un puzzle de lumière ou la tristesse et les larmes n’avaient point leur place ? Je le pourrais oui, d’ailleurs cela donnerait un certain regain d’optimisme à certains mais pourrait aussi éveiller la colère d’autrui. « Quoi ? Cette fille n’a jamais rien vécu de grave ? Plait-il ? Elle fut heureuse toute sa vie ? Qu’on la pende ! C’est un blasphème ! » La jalousie des gens malheureux… Enfin, voilà que je m’égare encore une foi dans les méandres de mes pensées aussi, vais-je me taire et laisser la place à ma voix off qui sera bien plus amène de vous faire un récapitulatif de mon histoire. Mesdames et messieurs, « bon voyage… »

« Londres est bien triste en hiver. Les ombres couvrent perpétuellement le ciel, mettant le soleil en désespoir, lui coupant toute possibilité de faire son travail et d’illuminer la ville. Londres… Cette ville, elle n’avait jamais réussi à la porter dans son cœur. Elle haïssait sa pluie, ces gens trop propres sur eux ainsi que ce rythme de vie trop ordonné, trop réglé pour la jeune femme qui, avant de rencontrer son actuel mari c’était habitué à la vie chaotique en banlieue de Russie. Oh la Russie. Sa neige et son froid lui manquait, la saveur de la vodka venant réchauffer sa gorge suite à une longue journée de labeur également et il ne se passait point une journée sans qu’elle ne songe à sa petite maison à la pauvreté apparente mais qui possédait la plus grande des richesses : celle de l’amour et de la chaleur humaine.
Un soupir vint trahir la morosité de son humeur alors que sa main amaigrie vint se poser sur la rondeur à présent bien visible de son ventre. Un petit être grandissait la dedans, un petit être vigoureux qui réclamait difficilement la vie et nécessitait la surveillance accrue des médecins. Une grossesse difficile et épuisante qui terminait de miner le moral de la jeune mère. Enceinte à seulement 23 ans, déjà mariée et ses rêves de jeune musicienne enfouie à jamais sous la richesse de sa nouvelle vie. A quoi bon travailler quand un mari richissime propose de vous entretenir ? Elle se mordit les doigts à cette pensée. Mon Dieu mais quelle bêtise avait-elle faite ? Certes, elle avait épousé cet homme dans l’unique bute de parvenir au mieux aux besoins de sa famille demeurée en Russie mais à quel prix ? N’était-elle pas mieux avant ? Pauvre certes mais tellement libre…
« Eva… »
La voix chaude et profonde de son mari l’extirpa de ses sombres songes tandis que ses bras d’homme venaient entourer son petit corps. Soupirante, la jeune femme laissa choir sa tête en arrière et ferma doucement les yeux. Savait-il que son cœur n’avait jamais rarement pour lui ? Devinait-il derrière ses sourires et sa douceur qu’elle profitait seulement de lui dans l’unique but d’offrir une vie plus confortable à sa pauvre famille ? Eva espérait que non cependant, elle savait qu’il était aussi doué en affaire qu’intuitif, on ne trompait pas un éminent homme d’affaire et, s’il ne disait jamais rien de ses doutes, elle voyait parfois dans son regard bleuté cette petite pointe d’amertume et de regrets. Lui n’aimait qu’elle, il l’avait fait sienne dès que son regard croisa le sien pour la première fois dans ce bar ou elle avait trouvé une modeste place de serveuse. L’amour fait faire bien des folies, et, bien qu’il sut que son cœur ne serait jamais à lui il pouvait au moins maintenir l’illusion en la couvrant de douceur, de passion mais également de cadeaux. Comme si cela pouvait être suffisant.
« - Comment ce porte notre futur maman aujourd’hui ?
- Je suis fatiguée Jacky… Mais j’ai senti le bébé plus agité que d’habitude aujourd’hui, il vit, ça me rassure. »
Répondit-elle d’une voix sereine avant de se retourner doucement afin de lui offrir un de ces merveilleux sourires dont elle avait le secret. Mentir était devenu si simple et elle se glissait dans le rôle de la futur maman inquiète et amoureuse avec une facilité désarmante. L’habitude sans doute…
« - Comment fut ta journée ?
- Beaucoup de travail comme d’habitude mais, fort heureusement, nos entreprises ne connaisse pas la crise, à croire que quelqu’un veille véritablement sur nous. Tu vois, notre bébé va pouvoir grandir dans un lieu magnifique, cet enfant sera notre petit prince et nous serons heureux, je te le promets…. »

Il n’est que six heures mais déjà la vie s’éveille en ce matin de Printemps. La petite fille entend les murmures de la ville et un sourire vint étirer ses lèvres endolories par le froid. Oh elle sait qu’elle ne devrait pas ce tenir ainsi sur le balcon. Sa maman lui à pourtant répéter mainte et mainte fois et déjà, elle entend sa voix la sermonnant durement. Une colère fausse, démentie par son brillant de mère heureuse. Maman n’est jamais en colère contre elle, maman est toujours douce et compréhensive si proche d’elle que, parfois, la petite fille ne sait plus si elle doit la considérer comme sa mère ou comme sa meilleur amie. Il faut dire que sans sa maman la petite fille n’aurait guère de mon à qui parler. A l’école les enfants ne la comprenne pas, ils la regardent tous comme si elle fut une étrangère et Cathy ne fait rien pour changer cela. Il faut dire que jouer aux poupées ne l’intéresse pas vraiment, embêter les garçons non plus si bien que rester toute seule dans son coin lui parait être une chance. Mais tout de même, elle aimerait comprendre cette différence. Pourquoi ne parvient-elle pas à s’intégrer ? Pourquoi voit-elle le monde d’un autre œil comme si elle flottait perpétuellement au dessus des autres, comme si elle appartenait à une autre réalité ? « - Tu es différente ma princesse mais ce n’est pas un défaut tu sais ? C’est une grande richesse au contraire mais, malheureusement, les autres ont souvent peur de la différence mais il ne faut point leur en tenir rigueur, il ne faut point en souffrir. » Maman avait toujours raison.

- Tu n’aimes pas papa. Son regard de jeune fille la fixait, inquisitrice. Immobile, la petite demoiselle n’attendait aucune réponse, sa phrase était une affirmation dont la voix enfantine vibrait de reproches sous-jacents. Suspendant son geste, Eva resta une seconde interloquée avant d’aller s’asseoir sur le lit de son enfant comme si, la véracité des propos de sa fille l’avait soudainement harassé de fatigue. Oh, certes, elle pourrait démentir, lui démontrer le contraire par des dizaines d’arguments néanmoins, elle savait que cela ne servirait à rien. Catherina était une enfant intuitive et intelligente qui observait si bien ses parents que rien, absolument rien n’échappait à son regard de petite fille. Elle n’avait pourtant que 10 ans. 10 ans… Un âge ou une petite fille reçoit normalement ses amies, un âge où elle devrait être invitée à des anniversaires où elle devrait elle-même en organisée. Mais pas Cathy. Cathy elle était le silence et la solitude, Cathy elle jouait de la guitare, passait son temps le nez enfoui dans les bouquins et s’amusait à gribouiller les feuilles de papiers blancs sans jamais être satisfaite de ses résultats. Eva soupira à cette pensée tout en ce rendant compte de ses erreurs. Elle aurait dut encourager sa fille à aller vers les autres, la faire sortir de sa coquille, l’aider à s’épanouir mais, au lieu de ça, elle avait encourager sa différence et, aujourd’hui, elle réalisait son erreur : sa petite princesse avait quitté l’enfance trop vite et, aujourd’hui, par l’impertinence de son affirmation mettait les pieds dans le monde complexe des adultes. - Pourquoi dis-tu cela Cathy ? Bien sûr que si, je l’aime ton papa. Répondit enfin Eva d’une voix sereine et douce tout en reprenant son geste consistant à coiffer avec application la longue chevelure de sa petite princesse. Aujourd’hui était un jour spécial, cela faisait maintenant 12 ans que Eva avait quitté la Russie. 12 ans qu’elle vivait dans le luxe, pouvait accéder à la culture, s’ouvrir au bonheur des voyages mais surtout, cela faisait 12 ans qu’elle était mariée, 12 ans qu’elle mentait, 12 ans que son mari l’aimait aveuglément tentant encore et toujours de conquérir son cœur. C’était absurde.
- Non, tu ne l’aimes pas comme une amoureuse, tes yeux ils parlent, ils sont tristes et parfois un peu las alors que ceux de papa ils rient toujours, ils t’enveloppent de tendresse et c’est beau ! Je serai aimée comme ça moi aussi un jour maman ? L’ombre d’un sourire naquit sur les lèvres de la jeune mère alors qu’elle finissait de natter les cheveux de sa fille qu’elle prit ensuite dans ses bras, la faisant asseoir sur ses genoux : - Bien sûr trésor. Comment ne pas aimer une si jolie jeune fille ? Mais attention, ne laisse personne t’emprisonner Cathy, tu l’on tombe amoureux de toi il faut que tu le sois aussi, il ne faut jamais mentir sur ses sentiments, jamais ! - Pourquoi ? C’est bien ce que tu fais avec papa ! Et je dois faire le contraire, je ne comprends pas. [b] - Si je fais cela avec ton père c’est que… Ecoute j’ai du faire le choix entre mon bonheur personnel et celui de ma famille. Ton papa me proposait une vie simple, une vie de rêve en échange de quoi je devrais simplement me comporter en bonne épouse et me cultiver suffisamment pour être présentable lors des dîners d’affaires. C’était un pacte mon ange, qui me permit et me permet encore aujourd’hui d’offrir à ma famille en Russie une vie meilleur et plus sereine.
Catherina ne prit tout de suite la parole. Les yeux dans la vague elle pesait le pour et le contre tout en tachant de comprendre au mieux le choix cruciale auquel sa mère avait du faire face. Son bonheur ou celui des siens… Mais, peut-être que les siens auraient préférés la voir demeurer à leur côté ? Après tout, maman lui avait toujours dit que notre richesse la plus grande était dans notre cœur et non pas dans notre porte monnaie alors… Maman avait surement fait une erreur, oui. Elle avait voulu se trouver un argument pour fuir ainsi la Russie et elle s’en mordait les doigts car son adaptation à Londres ne lui avait jamais réussi. Mais elle dans tout ça ? Eva avait-elle créée Cathy dans un réel élan d’envie où n’avait-elle fait, une fois encore, qu’obéir aux exigences affectives de son mari ? Était-elle vraiment une enfant désiré ou ne faisait-elle que servir d’un ciment plus solide au mensonge sur lequel Eva vivait depuis des années ? A ses pensées, Catherina sentit ses yeux s’emplirent de larmes. Oh non, ne pas pleurer, demeurer forte et ravaler ses questions et ses doutes. Maman avait raison, il fallait préserver les gens qu’on aime et parfois taire les questions qui pourraient nous apporter une vérité inacceptable. Et Cathy était encore trop jeune pour tout entendre, encore trop jeune pour tout comprendre aussi, garda-t-elle pour elle ses questions les réservant pour l’âge auquel elle serait prêt à tout entendre. En attendant, elle offrit à sa mère un délicieux sourire et, d’un bon, sauta de ses genoux pour tourner deux fois de suite sur elle-même faisant ainsi voleter sa longue natte blonde. Peut-être était-ce vrai, peut-être n’était-elle pas une enfant voulue mais, en attendant, sa maman la traitait comme une princesse et c’était cela qui demeurait le plus important.

-PAPA ! La voix résonna dans tout le couloir alors que Cathy refermait la porte du frigidaire d’un geste emplit d’une certaine nervosité. Le regard prêt à lancer des éclairs elle traversa le couloir au pas de course avant de débouler en trombe dans le fastueux bureau de son père. - Tu n’as pas l’impression d’avoir encore oublié quelque chose ? L’homme jeta un œil distrait sur sa fille avant de s’arracher aux dossiers en retard qu’il devait impérativement traité sous les douze jours venant au risque de voir son empire monétaire s’effondrer soudainement. Cependant, son travail qu’il faisait d’habitude avec joie et bonheur était devenu un véritable fardeau depuis que les médecins lui avaient annoncé le cancer de sa femme. Une annonce horrible qui engendra une si cuisante douleur que, durant un temps, l’imposant homme d’affaire réputé pour sa dureté c’était demandé si il s’en remettrait un jour. C’était cela sans compter sa fille. Cathy l’hyperactive, Cathy qui ne tombe jamais, Cathy qui, sous ses airs de jeune adolescente parvenait à gérer la situation bien mieux que lui. Cathy qui lui faisait face, le regard emplit de reproche et la bouche légèrement entre-ouverte comme si elle s’apprêtait à mordre.
- Que ce passe-t-il ?,
- Le lait papa… Je t’avais simplement demandé cela, tu m’avais dit que tu prendrais 5 minutes et je reviens et quoi ? Pas de lait ! C’est la seule chose qu’accepte de boire maman et toi tu oublies, tu n’es pas croyable !
- Cathy… Répondre à tous les désirs de ta mère ne l’aidera pas le sais-tu ? Elle va nous épuiser avec ses exigences, certes nous devons prendre soin d’elle mais elle doit également puiser en elle les ressources nécessaires à sa survie et ce n’est pas en répondant amen à toutes ses folies qu’elle cherchera à combattre la maladie.
Répondit-il le plus calmement possible tout en fixant sa fille. Oh il savait qu’elle n’apprécierait pas une telle réponse. Catherina était si protectrice, si proche de sa mère qu’espérer d’elle une remise en question sur sa manière de traiter Eva relevait du fantasme et pourtant. Il aurait tant aimé qu’elle l’aide moins, qu’elle apprenne à se détacher peu à peu d’elle. Car, aussi forte soit sa fille qui ne vivait plus que pour sa mère il savait que jamais, jamais le cancer ne viendrait à reculer. La mort se trouvait là, tapis derrière la porte de leur chambre, mort qu’il caressait du bout des doigts chaque nuit avant d’essayer de trouver un tant soit peu de repos. Eva… Il l’avait tant aimé que la voir aujourd’hui dépérir lui crevait le cœur aussi, est-ce pour cela qu’il préparait déjà son deuil, refusant délibérément d’y croire encore, de garder espoir afin de ne point être déçu, une fois encore, de la vie qui jamais ne vous apporte entièrement ce que vous désirez.
- Ne me prends pas pour une idiote veux-tu ? Je sais papa, je sais que maman va mourir mais c’est pour cela que nous devons faire un effort ne crois-tu pas ? Lui offrir ses… Dernières volontés avant qu’elle ne nous quitte. Elle, elle… Voulait juste un peu de lait d’accord ? Un peu de lait…
La voix de la jeune adolescente se brisa et, sans qu’elle ne puisse se retenir des larmes au goût de tristesses vinrent quitter le repère de ses yeux bleus pour entamer une folle course le long de ses joues rondes. Soupirant, Cathy se laissa lourdement tomber sur le fauteuil de cuir de son père et prit son visage entre ses mains, laissant son cœur saigner sans pudeur. Cela faisait tellement longtemps qu’elle retenait ses larmes, tellement longtemps qu’elle portait le savoir de la mort prochaine de sa mère sans broncher qu’elle se sentait aujourd’hui épuisée et à bout de nerfs. Il faut dire que sa journée de lycée fut particulièrement difficile également. Catherina était en terminal L, l’année du bac et c’est avec acharnement et volonté qu’elle travaillait tout en gérant les courses du quotidien, la maladie de sa mère, ses extravagances et la froideur polaire de son père qu’elle ne voyait d’ailleurs, pratiquement plus. Lui aussi se renfermait dans le travail tout en essayant à palier à la crise monétaire qui secouait tous le pays et, visiblement, il ne s’en sortait pas.
- Catherina je t’en pris. Nous ne devons pas nous laisser aller. Je m’excuse pour le lait mais tu sais, j’ai tant de travail en ce moment.
- Je le sais papa mais… J’en ai marre d’être plus adulte que je ne le devrais comprends-tu ? Les jeunes de mon âge passent leur temps à sortir, à draguer, à s’amuser et moi… Moi je partage ma vie entre les cours, maman, les cours, maman, je ne vois rien d’autre ! Je n’ai plus le temps de jouer, plus le temps de rien et je suis fatiguée, tellement fatiguée.
Catherina savait qu’il était inutile de se plaindre, que cela ne changerait rien et que son père avait certainement bien d’autres chats à fouetter cependant, elle ne pouvait plus se retenir. Catherina avait le besoin crucial de se libérer de ses peines chose que son paternel ressentait et comprenait très bien. Aussi, et ce pour la première fois depuis des mois il se leva et prit sa fille dans ses bras. Au début, cette dernière ce montra légèrement réticente, surprise par une si soudaine tendresse puis, elle se laissa peu à peu aller dans ses bras qui se refermèrent autour de son maigre corps qu’il serra contre son torse d’homme. Ce geste fut pour Cathy bien plus fort et plus utile que n’importe quel mot et ils demeurèrent de longues minutes ainsi enlacées, pleurant chacun sur l’épaule de l’autre. Ce geste devinrent une habitude, un instant de bonheur et de tendresse en ces instants difficiles qu’ils se devaient de traverser. Enfin, le père apprenait à aimer sa fille et sa fille à aimer son père si bien que la vie leur paru aussitôt plus simple et Cathy ne put s’empêcher de penser qu’une fois encore, sa mère avait eu raison : l’amour était la plus grande des richesses.

- Maman… J’ai parlé avec papa hier et le choix est fait, nous partons dans une semaine pour Saint Petersburg.
Eva ouvrit difficilement les yeux. Le regard lointain et la respiration rauque elle parvint tout de même à faire le lien entre ce que lui disait sa fille et le pincement qu’elle ressentait au cœur. St Petersburg mon Dieu… La ville de son enfance, la ville de ses souvenirs, il était si doux de penser pouvoir rejoindre le froid de Russie avant de s’endormir pour toujours. A cette songerie, un léger sourire vint naître ses lèvres sèches alors qu’elle déplaçait difficilement sa main vers celle de sa fille qu’elle saisit tout doucement. Oh sa fille… Elle devenait si belle, cette jeune femme qui réussissait tout, Cathy était sa plus belle victoire en ce monde, son unique véritable amour, la chair de sa chair…
- Comment as-tu convaincu ton père ? Il déteste tant la Russie… Je n’ai jamais pu retourner là-bas-tu sais ? Il n’a jamais voulu…
- Il avait peur que tu fuis. Papa n’as jamais été dupe tu sais mais il t’aimait tellement qu’il ne pouvait se résoudre à briser ses illusions mais, aujourd’hui que…
- Que je ne suis plus en état de fuir.
Eva ferma les yeux comme poignardée par la douleur de son annonciation. Elle avait beau savoir qu’il n’y avait plus d’espoir, beau savoir que la mort viendrait bientôt l’étreindre il lui demeurait impossible de ne point avoir envie de pleurer. Il était si dur de ce sentir mourante et de ne point connaître la date exacte où ce foutu cancer ce décidera à l’emporter. Et elle souffrait tant, physiquement et mentalement car il était si douloureux de voir souffrir celle qui chérissait le plus au monde. Oh Cathy, Cathy…
- Tu tiendras maman. Tu reverras ta Russie et tu pourras… Partir heureuse et puis, papa nous à trouver une petite maison de charme absolument sublime. Ni trop grande, ni trop petite, nous passerons inaperçus et nous serons confortablement installés de plus… Ta famille viendra te rendre visite, savais-tu que papa leur donnait plus que tu ne le pensais ? Je les ai eu au téléphone et ils sont tellement heureux à l’idée de te revoir ! Quand bien même ils souffrent de te savoir ainsi…
Les mots de sa fille glissait sur elle comme l’eau sur une roche. Sa famille, la Russie, une nouvelle maison. N’était-il pas odieux d’avoir attendu sa mort pour réaliser son rêve le plus fou ? N’était-il pas atroce de retrouver sa tendre Russie tout en sachant qu’elle ne pourrait point en profiter pleinement ? Odieux…
- J’aurais aimée que mon retour là-bas se fasse autrement mais je suppose que je devrais me contenter de cela. Mais Cathy, et tes études ? Comment feras-tu ? Tu ne parles pourtant pas le russe.
Un léger sourire vint éclairer le visage de sa princesse alors qu’elle se pencha afin de déposer un tendre baiser sur le front de sa mère.
- J’ai eu le temps de l’apprendre maman. Ca fait des mois que nous envisageons cela avec papa. Avant, c’était impossible avec son boulot et puis la crise il ne pouvait risquer une délocalisation qui ne serait pas fluctuante comprends-tu ? Mais maintenant qu’il y est parvenu et bien… Disons que je ferais ma prépa littéraire en Russie. Puis, papa m’as trouvé un petit appartement. Il n’était pas très grand mais c’est-ce que je voulais. Je vais pouvoir essayer de vivre vraiment pour moi maintenant, essayer d’être plus autonome, j’en ai besoin.

Il neige sur Saint Petersburg, l’hiver est à présent bien là venant étreindre la ville de ses bras de glaces. Le regard perdu dans la vague Catherina observe la course des centaines de flocons dévalant les cieux pour s’éteindre sur les routes recouvertes de sel. Il neige sur Saint Petersburg et son cœur n’a de cesse de gémir de douleur. Aujourd’hui, maman est morte. La nouvelle est tombée au cœur de la nuit et, bien qu’il fasse jour à présent Catherina ne parvint toujours pas à s’éveiller. L’impression de vivre un cauchemar demeure toujours et c’est avec grand peine que Cathy survit à cette réalité. Oh, elle s’y était préparée pourtant, elle savait qu’elle ne survivrait pas mais, elle avait espéré que venir en Russie, que réaliser son rêve parviendrait à la sauver, qu’elle trouverait en elle la force nécessaire pour survivre à sa maladie mais… Tout cela n’était qu’illusion. Soupirant, la jeune femme porta à ses lèvres sa tasse de chocolat chaud et reteint à nouveau ses larmes de venir humidifier son visage. Elle devait garder le sourire ne cessait-elle de penser, relever la tête et continuer d’avancer pour sa mère mais aussi pour son père dont la mort de sa femme avait fini de l’anéantir. Quelle étrange relation avait-ils eu tout deux. Eva ne l’avait jamais aimé et, pourtant, dans les derniers mois de sa maladie Catherina avait observé un réel changement dans son regard. Elle ne regardait plus son mari avec cette crainte, cette angoisse d’être découverte mais bel et bien avec tendresse. Il faut dire que son père c’était démené pour elle se faisant plus présent que jamais. Peut-être était-ce cela qui avait changé, sa manière de l’aimer c’était vu métamorphosée par la maladie, il ne la couvrait plus de cadeaux mais de mots, il lui offrait sa tendresse et sa présence, l’amour de son cœur et non la richesse de son compte en banque bien garnit. Alors oui… Catherina était sûr qu’Eva avait fini par tomber réellement amoureuse de son époux. Quelle tristesse…
- Ta mère me manque déjà tant Cathy…
La jeune femme se retourna subitement et posa sur son père un regard emplit de compassion. Il avait tant vieillit en l’espace d’une journée et il était bien loin de cette image du fort et inébranlable homme d’affaire. Aujourd’hui, il lui faisait plutôt penser à un pauvre enfant démuni et perdu, un enfant triste à la mort et dont le regard ne parvenait à rester sec plus de deux secondes, elle avait tant de douleur pour lui également.
- Je le sais papa, elle me manque à moi aussi, terriblement mais, il faut aller de l’avant, rester fort comme tu me l’as si bien enseigné.

Rester fort… Cela fait à présent quatre mois qu’ils le sont, fort… Et malgré ce temps, Catherina n’arrive pas encore à se faire à sa nouvelle vie. Oh, elle aime la Russie, son froid lui convient parfaitement tout comme ses études qui, bien qu’elles lui prenne le plus grand de son temps la comble au plus au point. Elle sait ce que sera son avenir et garde un excellent contact avec son père dont les affaires marchent toujours aussi aisément. Cependant, il manque cet éclat, cette douceur qui faisait de sa vie une véritable conte de fée. Un seul être vous manque et tout est dépeuplé disait Lamartine et ce vers lui parait si justement trouvée. Cathy noue ses cheveux en arrière et, dans un dernier regard pour son reflet quitte son appartement. Ce soir elle joue au bar, ce soir elle retrouve la réalité des pauvres gens venant trouver réconfort dans quelques verres de vins tout en se laissant porter par le son de sa voix. Ce soir elle joue au bar et la vie va continuer malgré tout, elle va continuer d’avancer, continuer de construire et faire perdurer sa joie de vivre.








COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM : Ahah ! Et bien j'étais sur RTD donc forcément...; PSEUDO : Proutland ouais bon okey, LG.; ÂGE : 19 piges YO; PRÉSENCE : 4/7; SUR TON AVATAR : Emilie de Ravin laplubelle; TON PERSO C'EST : une invention; CODE DU RÈGLEMENT : Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 1411664268; UN PETIT COMMENTAIRE : Veuillez m'acclamer, me vénérer et m'aduler comme si j'étais votre Dieu à tous. Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 94947637


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Catherina Vanhoover
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« Catherina Vanhoover »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Catherina Vanhoover
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 34
→ LIEU DE RÉSIDENCE : ::
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Etudiante en prépa littéraire



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyVen 27 Jan - 11:45

+1 parce que l'on est jamais trop prudent.
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Poppy F. Campbell
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« Poppy F. Campbell »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Poppy Faith Campbell
→ ÂGE : 19 mon gars, c'est le 3 mars alors zape pas !
→ PAPIERS : 224
→ LIEU DE RÉSIDENCE : squatt
→ SITUATION : "et sinon, les amours, ça va comment ?" "Bah écoute, je compte me reconvertir en none prochainement."
→ BOULOT : revendeuse dans les boites - sous-boss de l'empire Zakharien.



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyVen 27 Jan - 12:21

Emilie de Ravin, magnifique poupée blonde, soit je ne peux que te féliciter, ton choix d'avatar est parfait Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2124793060 On ne la voit pas assez sur les forums je trouve en ce moment en plus ! I love you

Bienvenue ici et bon courage pour rédiger la fin de ta fiche ! Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2176505670

Si mon post te gêne, fais moi signe ! I love you
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Catherina Vanhoover
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« Catherina Vanhoover »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Catherina Vanhoover
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 34
→ LIEU DE RÉSIDENCE : ::
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Etudiante en prépa littéraire



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyVen 27 Jan - 12:24

Ah ! Heureuse de voir que ma petite poupée plait à quelqu'un ! Et je suis d'accord avec toi, ça petite frimousse ce fait bien trop rare sur les forums il me fallait remédier à cela. Merci en tout cas ! Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 3441508097
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Judicaël V. Otrovski
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« Judicaël V. Otrovski »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Judicaël Volodia Otrovski. (Ou Sacha Romanov, mais ça date.)
→ ÂGE : 20 ans.
→ PAPIERS : 477
→ LIEU DE RÉSIDENCE : Vassilievski. Dans le squat, wesh.
→ SITUATION : En orgie sexuelle. Disons que mon lit n'est jamais vide, et pourtant mon coeur est pris par quelqu'un que je ne nommerai pas.
→ BOULOT : Oganisateur de raves, chef autoproclamé (mais pas tyran) du squat, et chieur à plein temps.



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptySam 28 Jan - 19:31

J'adhère, bienvenue poupée. Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2656539503
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Catherina Vanhoover
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« Catherina Vanhoover »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Catherina Vanhoover
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 34
→ LIEU DE RÉSIDENCE : ::
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Etudiante en prépa littéraire



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptySam 28 Jan - 20:15

Merci ! :D
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Lyudmila S. Al.-Derekieva
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« Lyudmila S. Al.-Derekieva »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Lyudmila Sasha Albin-Derekieva
→ ÂGE : 22 ans
→ PAPIERS : 96
→ LIEU DE RÉSIDENCE : UC
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Pâtissière



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptySam 28 Jan - 20:27

Re-bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue *o* Tu m'as croc manquée (a) *en espérant qu'elle s’est pas inventée ce qui s'est passé cet après-midi *sors* *
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Catherina Vanhoover
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« Catherina Vanhoover »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Catherina Vanhoover
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 34
→ LIEU DE RÉSIDENCE : ::
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Etudiante en prépa littéraire



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptySam 28 Jan - 20:30

Non tu n'as rien inventé je t'assure que ce qui c'est passé cet aprem était bien réel (ça parait louche dit comme ça ah ah), merci beaucoup ma pioule, tu m'avais manqué aussi !
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Lyudmila S. Al.-Derekieva
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« Lyudmila S. Al.-Derekieva »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Lyudmila Sasha Albin-Derekieva
→ ÂGE : 22 ans
→ PAPIERS : 96
→ LIEU DE RÉSIDENCE : UC
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Pâtissière



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptySam 28 Jan - 20:31

Catherina Vanhoover a écrit:
(ça parait louche dit comme ça ah ah)

Ahah, trop d'accord Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 337664734

Owii alors *o* Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 3574378608 Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 3574378608 Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 3574378608 Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 3574378608 Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 3334638515 Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 3334638515 Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 3334638515 Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 550350388 Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 550350388 Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 3564577885 *o*
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Kaytlin E.L Swann-Payne
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« Kaytlin E.L Swann-Payne »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : kaytlin elizabeth lula swann-payne.
→ ÂGE : 20 ans.
→ PAPIERS : 1076
→ LIEU DE RÉSIDENCE : primorski
→ SITUATION : en couple? amoureuse en tout cas.
→ BOULOT : je sers, joue et chante dans un bar du centre ville. j'ai arrêté mes études en journalisme parce que je suis allée en taule. j'aimerai bien vivre de ma passion, la musique



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptySam 28 Jan - 22:14

Emilie Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 4205929361
bon choix Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2656539503
bienvenuuuuuuuuuue, enfin re ? I love you
bonne chance pour ta fiche & n'hésites pas si tu as des questions Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 3334638515
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Levannà A.T. Novacek-Levy
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« Levannà A.T. Novacek-Levy »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Levannà Alice Thaïs Novacek-Levy - Mes parents ne pouvaient pas tomber d'accord entre le Russe et le Français... -
→ ÂGE : 21 ans
→ PAPIERS : 1090
→ LIEU DE RÉSIDENCE : Moskovski
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Travaille chez un photographe en développement de pellicules.



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyDim 29 Jan - 10:19

JE PLUSSOIE, ÉMILIE EST UNE DÉESSE !! Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2931871781 Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 3334638515 Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2131143800
Merci beaucoup d'être parmi nous et bon courage pour ta fiche !
En plus tu vas intégrer les Citizen, tant mieux, nous en avons besoin Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2124793060
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Felix Smith-Thomson
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« Felix Smith-Thomson »
Masculin
→ NOMS COMPLETS : Felix Charlie Isidor Smith-Thomson Dmitriev
→ ÂGE : 21 ans
→ PAPIERS : 267
→ LIEU DE RÉSIDENCE : chez Mark
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Barman



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyDim 29 Jan - 10:51

Bienvenue, je suis d'accord avec tout le monde sur le choix d'avatar I love you
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Catherina Vanhoover
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« Catherina Vanhoover »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Catherina Vanhoover
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 34
→ LIEU DE RÉSIDENCE : ::
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Etudiante en prépa littéraire



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyDim 29 Jan - 11:17

Yeah je sais je suis une star, une bombe, une déesse et EN PLUS je vais peupler la ville d'une nouvelle citoyenne, vous pouvez me vénérez mes amours. ♥️ Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2931871781

Bon, okey je sors, merci à tous en tout cas et oui, je n'hésiterai pas si j'ai la moindre question, merci !
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Invité

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« Invité »



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyDim 29 Jan - 11:24

Emilie Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 4205929361
J'te baise dans un coin sombre, toi Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 4205929361 Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 3641689417

Bienvenue & bonne chance pour ta fiche Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2124793060
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Catherina Vanhoover
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« Catherina Vanhoover »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Catherina Vanhoover
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 34
→ LIEU DE RÉSIDENCE : ::
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Etudiante en prépa littéraire



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyDim 29 Jan - 11:30

[justify]Owi baise moi j'aime tellement ça ! Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2006429247
Merci beaucoup jeune padawan ! Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2211252749
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Orlando Lex Hutchinson
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« Orlando Lex Hutchinson »
Masculin
→ NOMS COMPLETS : Orlando Lex Hutchinson
→ ÂGE : 21 ans
→ PAPIERS : 48
→ LIEU DE RÉSIDENCE : la ville
→ SITUATION : dans une belle merde
→ BOULOT : pas légal



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyDim 29 Jan - 16:38

MON AMAAAAANT <3 on s'reprendra dans notre ruelle sombre (a)
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Catherina Vanhoover
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« Catherina Vanhoover »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Catherina Vanhoover
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 34
→ LIEU DE RÉSIDENCE : ::
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Etudiante en prépa littéraire



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyDim 29 Jan - 17:01

Si il y a encore quelqu'un annonçant vouloir me prendre dans une ruelle sombre j'organise une partouze.
Ahah, amant de mes rêves ! J'ai tellement hâte que tu m'en *censurée.* What a Face
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Iris-Teddy L. O'Callaghan
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« Iris-Teddy L. O'Callaghan »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Iris-Teddy, Lucky, Victoire, Charlie, O'Callaghan
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 369
→ LIEU DE RÉSIDENCE : St petersbourg - Le squat
→ SITUATION : Célibataire, vide de sentiments, complètement seule. So Lonely ... Mais heureusement, y a Hélios sur la CB !
→ BOULOT : Organisatrice d'évènement, spécialement les mariages & conseillère en image.



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyMar 31 Jan - 10:01

Bienvenue mon ange Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2124793060
Bon courage pour ta fiche Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2176505670
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Catherina Vanhoover
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« Catherina Vanhoover »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Catherina Vanhoover
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 34
→ LIEU DE RÉSIDENCE : ::
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Etudiante en prépa littéraire



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyMar 31 Jan - 10:03

Merci ma chérie ! ♥️ Je vais arriver à en venir à bout de cette fiche. Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 509397055
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Levannà A.T. Novacek-Levy
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« Levannà A.T. Novacek-Levy »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Levannà Alice Thaïs Novacek-Levy - Mes parents ne pouvaient pas tomber d'accord entre le Russe et le Français... -
→ ÂGE : 21 ans
→ PAPIERS : 1090
→ LIEU DE RÉSIDENCE : Moskovski
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Travaille chez un photographe en développement de pellicules.



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyMar 31 Jan - 18:52

Oui dépêche toi petite coquine Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 534202034
Et n'oublie pas le code du règlement ;)
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Y. Feofan A. Bielinski
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« Y. Feofan A. Bielinski »
Masculin
→ NOMS COMPLETS : Feofan, Aleksei, Yasha Bielinski
→ ÂGE : 24 y.o.
→ PAPIERS : 231
→ LIEU DE RÉSIDENCE : moskovski arround...
→ SITUATION : célibataire, branleur et chieur à temps plein.
→ BOULOT : branleur, étudiant et chanteur dans un groupe.



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyMar 31 Jan - 19:23

Bienvenue en passant, j'avais oublié ta fiche, tu peux me fouetter c'est pas interdit ( j'aime ça Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 337664734 )
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MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyMar 31 Jan - 20:40

Bienvenue jolie Madame !
Bon courage pour ta fiche, et j'aime beaucoup le titre de ta présentation Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 3574378608
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Catherina Vanhoover
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« Catherina Vanhoover »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Catherina Vanhoover
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 34
→ LIEU DE RÉSIDENCE : ::
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Etudiante en prépa littéraire



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyMer 1 Fév - 22:59

*Enfile son costume de Catwooman et fouette Feo'.*
Ca tombe bien, j'adoooore fouetter les gens aussi. What a Face

Merci les petits loups ! Et je m'excuse si je prends encore un peu de temps. J'ai pas mal de soucis familiales en ce moment bref, le moral n'est pas au plus haut mais je tente de finir tout ça le plus vite possible jurée !
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MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyJeu 2 Fév - 6:26

Bienvenue la bebom Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. 2124793060
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Catherina Vanhoover
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« Catherina Vanhoover »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Catherina Vanhoover
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 34
→ LIEU DE RÉSIDENCE : ::
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Etudiante en prépa littéraire



MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. EmptyJeu 2 Fév - 9:55

Merci, merci !
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MessageSujet: Re: Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses.   Ce que je préfère dans les mots, ce sont ses silences, ces petites pauses qui signifient tant de choses. Empty

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