NOMS : Robbins; PRÉNOMS : Leopoldine Cassiopéa; ÂGE : 23 ans; LIEU DE NAISSANCE : SAINT-PÉTERSBOURG; STATUT : en couple, mon copain vit dans le futur célibataire; ORIENTATION SEXUELLE : bisexuelle; ÉTUDES / EMPLOI : à la recherche d'un emploi; J'AIME PAS: les gens qui se prennent trop la tête, parler de l'avenir, faire le ménage, être sérieuse ; J'AIME : lire, danser toute seule en écoutant mon Ipod, aller au cinéma, ; CONFRÉRIE : squatteurs; CRÉDIT BANNIÈRE : bazzart;



COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM : bazzart; PSEUDO : pasdepseudo; ÂGE : 20 ans; PRÉSENCE : 7/7; SUR TON AVATAR : blake lively; TON PERSO C'EST : une invntion ! ; CODE DU RÈGLEMENT : ; UN PETIT COMMENTAIRE : Nope ! ;

Taking picture of you :

Un psychiatre aurait du mal à vous décrire Leo en quelques lignes. Elle a perdu son père à l’âge de 12 ans, et cet horrible évènement a déjà apporté assez de problèmes dans sa vie. Problèmes de peur d’abandon, de peur que les autres personnes de sa famille s’en aille, la quitte, meurt, ou tout simplement ne veuille plus d’elle. Elle a pourtant été aimée, beaucoup, passionnément même. Ses parents l’adoraient, elle était fille unique et ils lui ont donné tout leur amour lorsque qu’elle était enfant. Mais lorsque son père mourut, d’une maladie compliqué qu’elle ne pourrait pas vous expliquer, elle ne se sentit plus elle-même. Elle eut l’impression que son monde n’était plus le même. Elle ne savait même plus comment vivre dans un monde où son père n’était pas vivant. Depuis ce moment, elle avait peur. Peur d’aimer n’importe qui, peur d’être aimée. Sa mère tomba en dépression peu après la mort de son père, et elle se retrouva seule. Leo essaya de l’aider, mais c’était dur, à son âge, en plein deuil, de devoir en plus aider sa pauvre mère. Cette dernière s’en remit, difficilement, mais elle s’en remit. Mais pour Leo, c’était plus compliqué. Elle n’était plus gentille, drôle, elle ne paraissait plus intelligente ou amicale. Cette Leo était partie. Elle n’aimait plus rien, était pleine de sarcasme et de moqueries, elle faisait tout pour ne laisser personne s’approcher d’elle. Elle se construisait une carapace, pour se protéger, pour ne plus se laisser s’attacher à personne. Son adolescence était la pire période de sa vie.
Après avoir vécu le pire, elle eut l’impression que rien ne pouvait plus lui arriver. Petit à petit, elle redevint elle-même. Elle reprit le plaisir de vivre. Elle redevint la gentille, drôle, attachante Leo que tout le monde connaissait. Son caractère amical, généreux, que les gens aimaient. Elle a des défauts aussi, bien sûr, elle n’est pas parfaite. Elle s’énerve rapidement, elle est aussi susceptible, et a beaucoup d’égo. On lui dit souvent qu’elle est un peu arrogante. Elle se ronge les ongles, est allergique aux noix et adore les chats. Elle lit beaucoup, de la vraie littérature, et est aussi cinéphile. Elle va au cinéma une fois par semaine si elle peut se le payer. Elle ne sait pas ce qu’elle va faire de sa vie, elle est toujours perdue, mais qui ne l’est pas ?

The pursuit of happiness :

C’est l’histoire d’une jeune fille, qui s’appelle Léopoldine. Elle est née à Saint-Pétersbourg il y a vingt-trois ans de cela. Ses parents se nomment Axel et Johanna. Ils sont tous les deux issues de la classe moyenne, et se sont rencontrés alors qu’ils n’étaient au lycée. Ils sont tombés amoureux rapidement mais ne se sont mariés que 10 ans après : leurs parents, les grands-parents de Léopoldine, ne voulaient pas qu’ils se marient trop vite juste après le lycée et qu’ils fassent une grosse erreur. Ils voulaient qu’ils prennent leur temps de voir s’ils étaient vraiment amoureux, et c’est ce qu’ils ont fait. Ils se sont donc mariés 10 ans après leur rencontre, mais amoureux comme au premier jour. Axel travaillait à l’usine et Johanna était serveuse, mais elle quitta son petit boulot quand elle apprit qu’elle était enceinte : elle voulait à tout prix s’occuper de son enfant, et pas le laisser à une nourrice les trois quart du temps. Ce fut assez difficile financièrement, mais ils y arrivèrent. Axel mettait tout ce qu’il gagnait pour sa famille, et il ne restait presque plus rien pour les loisirs, mais lui et Johanna s’en fichaient : ils voulaient que Léopoldine ait tout ce qu’elle mérite, de la bonne nourriture, des vêtements et une bonne éducation.
A l’école, Léo était une enfant maligne, elle travaillait beaucoup, était curieuse et aimait apprendre. Elle avait donc des bonnes notes, et ses parents étaient terriblement fiers d’elle. elle lisait beaucoup, c’était son passe-temps favori. Tout se passait donc pour le mieux dans le monde de Léopoldine. Jusqu’à ce qu’elle eut 11 ans. Lorsqu’elle atteint cet âge, son père dû quitter son emploi, car il était malade. C’était là le début de la fin. Il n’avait pas assez d’argent pour rester à l’hôpital et recevoir le traitement qu’il devait, il se contentait donc de simples médicaments, mais ce n’était pas assez. Sans assurance, il était difficile de se faire traiter. Johanna du reprendre son boulot de serveuse, et elle était au bord de la crise de nerfs, entre le travail, s’occuper de la maison, de son mari malade et de sa petite fille … Plus rien n’allait. Léopoldine ne savait plus quoi faire. Elle n’était plus la petite fille pleine de joie, drôle et attachante que tout le monde connaissait. Elle était triste, tout le temps, elle passait son temps seule enfermée dans sa chambre à pleurer. Elle se fichait des cours désormais, et passait son temps à sécher et à trainer avec de nouveaux amis, à boire et à fumer. Son père mourut rapidement après cela. Et au lieu de faire son deuil, Léopoldine décida de tout envoyer en l’air. Elle était au bord du gouffre, tomba en dépression et devient limite alcoolique. Elle se retrouva entremêlée dans une histoire de dealer d’antidépresseur, qu’elle revendait pour payer sa propre drogue. A 16 ans, elle n’était plus du tout la même personne que ses parents avaient élevée. Sa mère, terriblement secouée, ne savait plus quoi faire, mais se rendit bien compte que si elle voulait que cela change, il ne fallait plus qu’elle accepte le comportement de sa fille, et la ficha donc dehors. Ce n’était bien sûr pas la solution. Léo alla habiter d’amis en amis, jamais dans un endroit fixe. Elle vécut des années de galère, jusqu’à ses 20 ans, ou sa mère aussi tomba malade. Léopoldine, de peur de la perdre, resta à son chevet jours et nuits jusqu’à ce qu’elle aille mieux. Heureusement, Johanna survécu à son cancer, et Léopoldine était tellement heureuse de retrouver sa mère qu’elle redevint, comme par magie, la petite fille qu’elle était. Fini la drogue et l’alcool, elle comprit que c’était inutile de gâcher sa vie, elle voulait profiter de sa mère le plus longtemps possible, et pas lui faire du mal comme elle l’avait fait auparavant. Elle retourna vivre chez sa mère jusqu’à ce que cette dernière meure précipitamment d’un accident de voiture. Léopoldine était choquée, triste, et désormais orpheline. Elle du donc trouver un nouvel appartement, et est à la recherche d’un emploi. Sans argent, sa famille, seule au monde dans Saint-Pétersbourg….