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 louANGE ► and you may tell me to run, run now.

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Aelis-Louange Beresford
IDENTITY CARD

« Aelis-Louange Beresford »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : aelis-louange beresford
→ ÂGE : vingt deux ans
→ PAPIERS : 165
→ LIEU DE RÉSIDENCE : saturne
→ SITUATION : en relation libre avec canabis
→ BOULOT : uc



MessageSujet: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 15:58





AELIS-LOUANGE BERESFORD
louANGE ► and you may tell me to run, run now. Source
NOMS : beresford. PRÉNOMS : aelis-louange. ÂGE : vingt deux ans. LIEU DE NAISSANCE : norfolk, USA. STATUT : célibataire. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. ÉTUDES / EMPLOI : . J'AIME PAS: mes clients. J'AIME : lawson et ana. CONFRÉRIE : véritable squatteuse. CRÉDIT BANNIÈRE : fantaisiiechampipi.





COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM : c'est le petit frère de rtd. PSEUDO : clem, fantaisiielekiwi ( oui, en ce moment, je suis supraàdonf sur le fait de trouver les rimes à mon pseudo ). ÂGE : seize yo les cocos. dix sept dans 3 jours, yeah ! PRÉSENCE : vacances h24 j7 ( oui, je ne dors pas, je ne me nourris pas, je suis un vampire ), période scolaire, j2 malheureusement, internat oblige. SUR TON AVATAR : phoebe jane elizabeth tonkin. TON PERSO C'EST : inventé, avec mes deux kiwis d'amour. CODE DU RÈGLEMENT : j'adore le code du règlement. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4153354820 UN PETIT COMMENTAIRE : JE VOUS AIMES GROS COMME ÇA ! louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2176505670 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2176505670








Taking picture of you :

« Je m'appelle Aelis-Louange. Je préfère qu'on m'appelle Lou, mais je me présente comme Aelis aux personnes intéressantes. Seul Lawson et Ana m'appelle Lou, donc. »
Aelis a vingt deux ans, vingt trois ans le douze février. Elle a passé dix huit années de sa vie dans un orphelinat à Norfolk, aux États-Unis. Elle est française, son père est américain. Un jour, elle ai essayée d'étrangler un client parce qu'il l'avait appeler " mon ange ". Elle déteste les jeux de mots stupides avec son prénom. Elle déteste son prénom. Lou est complétement fascinée par l'eau et par l'océan. Un jour, elle a essayée de s'endormir dans son bain. Elle y était si bien qu'elle y est ressortie aussitôt pour aller réclamer une sortie à la piscine à sœur Mary. Quand elle eu dix neuf ans, elle est partie deux mois en France, illégalement, en Bretagne. Elle y passait ses journées à la plage, ses nuits dans des motels ou des chambres d'inconnus. Aelis ai même réussie à se faire engagée sur un bateau de pèche par un vieux marin ivrogne et gueulard. Elle s'est faite virée au bout de huit jours car elle n'étais bonne à rien. Aelis a plus appris sur elle ces deux mois que les dix huit dernières années. Depuis, elle rêve de nouvelles aventures de ce genre. Elle est célibataire. Des gens disent qu'elle est folle. Elle a quittée son seul et unique petit ami d'un mot écrit avec du sang. Involontairement bien sur. Elle n'est pas folle. C'est juste des gens qui dissent cela. Lou se sent complétement perdue quand elle quitte Lawson ou Ana plus de quarante huit heures. Elle a fumée sa première cigarette à seize ans. Elle ne fume pas. Elle fume seulement quand elle est stressée. Elle est assez souvent stressée. Il lui arrive fréquemment de boire jusqu'à ne plus se rappeler qui elle est, en revanche, elle n'a jamais touché à la drogue et ne compte jamais le faire. Aelis se cache souvent pour pleurer en se jurant de faire quelque chose de sa vie dont elle serait fière et d'arrêter de se lamenter sur son sort. Quatre jours plus tard, elle recommence en se détestant un peu plus. Aelis a des sentiments très fort envers Harold, elle n'y a jamais vraiment pour autant réfléchis, m'étant cela sur le compte d'une amitié fusionnelle et sans ambiguïté. Bien qu'on serait tenter de penser le contraire, elle est vierge. Avec les hommes, elle vais jusqu'au maximum sans coucher, elle promet le lendemain, puis pars avec leur montre Quartier et les billets qu'elle trouve au fond de la table de nuit avant qu'ils ne se réveillent. Elle a extrêmement peut d'estime pour les garçons depuis qu'elle a seize ans. Elle accepte avec grand plaisir les Louboutins que lui offrent ses clients. Qu'elle revend sur e-bay afin d'acheter des clopes et des paquet de nouilles. Ça en fait des nouilles. Aelis aime aller à la pèche et faire les courses dans les magasins d'alimentation. Elle aime également regarder les gens de haut en bas en se disant qu'elle vaut mieux qu'eux. C'est le seul de ses mensonges qui arrive à passer.
« Je suis Aelis-Louange et je suis au squat depuis deux ans et quatre mois. »











début de l'histoire ici désolé, plus de place sur l'autre post. Arrow

The pursuit of happiness :

Comme nos parents, on a tous vécus plus jeune qu'on ne l'es actuellement. Les darons ont les imaginent couchés ensemble pour nous concevoir, et si après ça on n'est pas terrorisés à vie, on se voit nous, à l'âge des teletubbies et des playmobiles. Seulement moi l'âge des teletubbies, je ne l'ai jamais connu, c'était plutôt l'âge billes avec des cailloux et corde à sauter avec un bout de corde, faute de mieux. Un cadeau du ciel, l'orphelinat, un cadeau du ciel ? Ça reste à démontrer... Dans un certain sens, oui. Mais honnêtement, que vaut la vie ainsi mal partie ? Mais commençons par le commencement. Je suis née un certain jour il y a un presque vingt trois ans, un matin de février. Et c'est comme si ma vie s'était accélérée jusqu'au moment ou je suis arrivée à Norfolk. Ma mère est morte en me mettant au monde. Elle n'a pas survécu, elle ne m'a pas survécu à moi. Je n'avais que quelques secondes que déjà je réduisais à néant les personnes osant un peu trop s'approcher de moi. Le fait est que, mon père avais aimé, beaucoup plus qu'aimé ma mère. Dans ses yeux, j'étais la meurtrière. L'erreur fatale de ma mère, la catastrophe de leur vie. Pire qu'un enfant non-désiré, un enfant non-aimé. Je n'ai pas fait long feu dans le monde dit normal. Le seul détail que je connais de mon père, c'est qu'il m'a déposé à PEJ quelques jours après ma naissance. Quel panache, je ne vous dis pas. Je m'appelle Aelis-Louange. Aelis, c'est le prénom de ma mère, je n'ai jamais vraiment compris pourquoi je m'appelais comme ca. J'avais prise sa vie, son destin, alors c'était comme ca maintenant, je devais " prendre " son prénom, sa... place ? Louange viens des sœurs quand elle m'ont recueillis. Beresford est le nom de mon père. C'est tout ce que j'ai eu d'eux, leurs chromosomes. Et leurs noms...


Comme une malédiction, je ne me suis jamais vraiment battu pour quelque chose. Sauf peut être pour Lawson et Ana. Ces deux petites réincarnations du diable. Ana était une genre de surdouée, à toujours vouloir avoir raison, Lawson se prenait déjà pour le roi du monde. Autant dire que l'ennuie, nous ne connaissions pas, à nous trois. Je suis arrivée la dernière des trois, ils avaient un an de plus que moi tous les deux. Ana, c'était avant tout ma voisine de lit. Celle dont je copiais les grimaces. Lawson surement le seul qui acceptait de partager les jouets avec moi. Nos plus jeunes années, on était déjà ensembles, on se complétaient en quelque sorte. On eu sept ans. Les autres enfants étaient comme des aliens dans nos yeux, et Lawson venait d'apprendre le mot putain, qu'un jour, après l'heure de télévision journalière, sœur madeleine est venu chercher Ana. J'ai croisée le regard de Lawson, puis je me suis enfuis. Je me suis enfuis dans le plus petit recoin de l'orphelinat, et j'ai pleurée. Pleurée jusqu'à ce que j'entende la porte de la pièce se refermer sur quelqu'un. Lawson se tenait devant moi, les bras ballants, le regard vite. « Ana elle va partie ? » « J'en sais rien... Ne t'inquiète pas. » « Je veux pas. » On n'avaient que sept ans, mais on étaient pas ignorants, et encore moins débiles. On en avaient vu pleins passer la porte à gauche dans l'entrée. Elle était tout le temps fermée à clé, mais les seules fois ou elles s'ouvraient, c'était sans retour pour celui qui s'y risquait. Je ne savais pas trop ce qu'il y avait derrière cette porte, je rêvais d'un monstre orange à deux têtes, un méchant dentiste, ou pire une porte de sortie, nous offrant en pâture au monde. J'ai fermée les yeux sur l'épaule du garçonnet et je suis partie dans le monde imaginaire, surement le seul monde ou seul le bonheur était admis... Quelques heures après, Ana est revenue, elle a inventée une excuse pourri, même Lawson ni croyait pas. Elle mentait, je le sentais comme quand je pissais dans ma couche qu'elle mentait. Elle avait menti pour nous, elle avait rejetée sa nouvelle vie offerte sur un plateau d'argent pour nous.
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Aelis-Louange Beresford
IDENTITY CARD

« Aelis-Louange Beresford »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : aelis-louange beresford
→ ÂGE : vingt deux ans
→ PAPIERS : 165
→ LIEU DE RÉSIDENCE : saturne
→ SITUATION : en relation libre avec canabis
→ BOULOT : uc



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 15:58

« Attends moi Lou. » Je soupirais et laissais le jeune homme me rattraper. Ce dernier calait sa cadence à la mienne. « Qu'est ce que tu veux, Elias ? » Enfin, je levais les yeux sur ses yeux noisettes culminant une bonne vingtaine de centimètres au dessus de moi. Elias était le genre de garçon qui fessait craquer toutes les filles de l'orphelinat. Le regard farceur, le sourire en coin et les cheveux constamment en bataille, il était ce mec là. Celui qui en même temps provoquait la méprise et éveillait un sentiment irréfutable de désir. Malgré cela, il me répugnais. Ses manières, sa façon d'être me répugnais. C'était la personne la plus hautaine que j'avais jamais connu et le fait qu'il ai pris un malin plaisir à faire de moi son bouc émissaire et à me rabaissé à chaque fois que nos chemins se croisaient y était aussi pour quelque chose, je l'avoue. Il est arrivé à Norfolk lorsque j'avais cinq ans. Il en avait alors six. Ses parents étaient morts dans un accident de voiture, personnes ne s'étaient manifesté pour le prendre en charge, c'était un nouvel arrivant parmi tant d'autres à PEJ. La première fois que je lui ai adressée la parole, je me suis fais pressement envoyé boulet à coup d'insultes. Ça eu le mérite d'être clair.
« Te demander ce que tu comptais faire une fois rendue en ville. » Je me figeais. Était-ce mon imagination ou Elias Welsh venait vraiment de prononcer ses mots. Il m'imitait, un regard interrogateur posé sur moi. Je scrutais son visage, guettant l'instant ou un sourire cruel se logerait sur ses lèvres et ou il se détournerait de moi en me lançais une réplique cinglante. Pourtant, l'instant durait, au point d'en devenir embarrassant. J'avais beau cherché, il n'y avait aucunes onces d'ironie dans ces traits. Encore sous le choc, je fronçais les sourcils et marmonnait un " j'arrive " inaudible quand Ana m'appelait au loin. Je fis un pas en arrière, lorgnant du coin de l'œil le sourire timide qu'Elias lançait dans ma direction. Ana m'attrapait le bras et nous partons en direction du centre ville, mais je n'arrivais pas à m'enlever l'image de la tête. Elias venait de se comporter poliment avec moi. Sans sarcasme, comme un être humain s'adressant simplement à un autre être humain. Venais-je de rêver ou bien ... ?
J'eus dix-sept ans et contrairement à Ana, je ne suis jamais payée le luxe de refuser une famille, tout simplement parce qu'elle n'est jamais arrivée, cette famille. Je m'en suis remise. C'est pas comme si j'avais espérée qu'elle finisse par venir. Plus le temps passait, plus j'avais peur de l'avenir. De l'après Norfolk. Ana était la plus âgée d'entre nous trois, de quelques mois par rapport à Lawson. Il ne lui restait plus beaucoup de temps à tenir. J'avais l'horrible sensation que le temps me filait entre les doigts, sans que je ne puisse rien faire pour l'arrêter. Je cauchemardais toute les nuits de ca. Du repart d'Ana. Puis du départ de Lawson. Je ne voulais pas qu'ils partent, c'était cruellement égoïste. Et puis, qu'est ce qu'il se passerais ensuite ? Ils ne seront plus là, je serais seule quelques interminable mois. Et puis, ce serait alors à mon tour de quitter cet endroit. Nous serions dehors, d'accord. Mais où ? Comment ? Les sœurs ne seront plus là pour nous préparer à manger, nous n'aurions plus de lits qui nous attendaient tout les soirs. La dure réalité s'imposait à moi tel une claque. Je préférais ne plus y penser. J'ouvris les yeux et inspirais une longue goulée d'air. La clarté de la lumière m'aveuglais un court instant. Je secouais nonchalamment la tête puis m'approchais du grand chêne en jetant un long regard périphérique derrière moi. J'étais seule. Je m'appuyais contre l'imposant tronc de l'arbre, du coté où on ne pourrais pas me voir des bâtiments, puis je sortis de la poche arrière de mon jean mon paquet de cigarette et un briquet d'une couleur verdâtre qui me donnait la nausée. Je grimaçais. Il ne me restais déjà plus que trois cigarettes pour tenir jusqu'au sur-lendemain. Je soupirais d'aise alors que la cloque commençait à se consumer entre mes lèvres que j'entendis au loin la voie pressée de sœur Elisabeth. Je tendis l'oreille, curieuse. « ... cette fois... pas s'en tirer comme ca... » Je tirais encore une fois sur ma cigarette, l'esprit ailleurs. Pourtant quelque chose m'empêchait de me laisser aller à ce plaisir béat. Un froissement de feuille... Oui, c'est bien ca que j'entendais. Ce que j'entendais aussi, c'était la voie de sœur Elisabeth marmonner, de puis en plus près. Mon sang ne fit qu'un tour. C'est ici qu'elle venait. Elle savait que bon nombre venaient se cacher ici pour fumer. Et c'est moi, qu'elle allait trouver. La cigarette me glissait entre les doigts et mes jambes se dérobèrent aussitôt sous moi. Je m'accroupis sur le sol, complétement paniquée. Sans réfléchir, j'abattis ma main sur la cloque qui menaçait d'enflammer le lit de feuille. Je retirais précipitamment ma main en un cri plaintif. Qu'elle idiote, je venais de me bruler la paume de ma main gauche. « Hé psst. » Je sursautais. La brulure me fessait faire victime d'hallucinations maintenant ? Je secouais ma main blessée dans l'air en essayant du mieux que je le pouvais d'étouffer mes coincements de douleurs. S'en était finis pour moi. S'il y avait bien quelque chose de tabou ici à l'orphelinat, c'était la cigarette. Même le sexe passait mieux auprès des sœurs. Un jour, un médecin de la ville était intervenu en classe nous parler de ce sujet. Je me souviens que ce dernier avait insisté à nous donner à chacun notre petit sachet de préservatif. Même s'il était, je cite " bien sur, totalement proscris d'y songé dans l'enceinte de l'orphelinat ". En revanche, on a jamais eu de petits paquets de cigarettes offert...
Sœur Elisabeth allait arriver d'une seconde à l'autre, elle allait de trouver là, et je n'osais songer aux conséquences... Il ne fallait pas que ca arrive, il n'y avait pas d'autres issues discutables. Je scrutais les alentours, à la recherche d'un échappatoire. « Ici. » Je sursautais une fois de plus. Cette fois, j'étais sure et certaine d'avoir bel et bien entendu. Je plissais les paupières et fixais avec plus d'attention les environs. La bas, recroquevillé derrière le vieux tas de pierres près de ce que j'osais appeler un cabanon de jardin, je le voyais, le regard rivé sur moi. « Viens Aelis. » Elias Welsh offrait bien un piètre spectacle de lui même ainsi recroquevillé sur lui même. Cette expression rassurante sur le visage le rendait presque accessible. Assommée par la surprise, je n'osais toujours pas bougée. Et puis, j'entendis alors la voie de la sœur maintenant tout près. Je m'aplatis sur le sol, en priant pour que les boissons autour de moi suffissent à me rendre invisible à ses yeux. « Allez magne toi viens là ! » Je rampais non sans quelques difficultés vers le jeune homme et sa cachette et adoptais la position la plus refermée possible. Je levais les yeux vers lui, ses yeux noisettes me perçait d'une expression ridiculement amusée. « Quoi ? » « Si tu restes ici, autant te relevée tout de suite en dansant la polka. » Exact. Je ne voulais tellement pas m'approcher plus de lui que j'étais carrément à découvert. Je glissais timidement jusqu'à lui, il ouvrit les jambes, j'hésitais un moment avant de m'y installer, les genoux collés contre la poitrine, afin d'être également protégée part le tas de pierres. Je sentais sa respiration soulevé son torse à intervalle régulier dans mon dos, il n'y aurait pas pu y avoir punition plus désagréable à mon comportement. Les instants passent, je bouillonnais d'être prisonnière ainsi avec Elias, quand après une attente interminable, il me sort de mes pensées. « Relax, elle est partie. » Mes jambes firent un bond en avant, avant que j'ai eu le temps de dire ouf. Comme si même mon corps ne désirait également qu'une seule chose : mettre le plus de distante entre Elias et moi. On était là, à se regarder en chien de faillance un instant, puis il a sortis une cigarette, détendu ses jambes devant lui, tout ca en me fixant de ses yeux d'imbécile. Il m'énervait déjà. Je fis un pas en arrière et je me détournais de lui pour rentrer. Oh et puis merde. « Merci... » Il me sourit de toutes ses dents. Je fis la grimace avant de reprendre mon chemin. Tout allait bien, sœur Elisabeth ne m'avais pas prise, Elias ne m'avais pas planté de couteau dans le dos, et pourtant, je me sentais mal comme jamais. Je su pourquoi au moment où je franchie les portes de la bâtisse. Je me sentais mal parce que j'aurais beau le nier, j'avais maintenant une dette envers Elias, et ca me rendais folle.


Vint le jour ou Ana eut dix huit ans. Ce matin je me suis jetée sur le lit voisin au mien à sept heures trente quatre du matin, j'ai hurler aux autres filles qui se plaignaient du bruit d'aller se faire voir et j'ai entamé une chanson d'anniversaire, tapant dans mes mains et fessant des acrobaties pour éviter d'écraser les jambes de ma meilleure amie. J'étais tellement heureuse pour Ana. Tellement aveuglée également que sur le coup, je ne réalisais pas trop. Que je n'allais plus me glisser sous ses draps le soir pour nous raconter des histoires après le couvre feux. Nous avions rendez vous le lendemain en ville, mais ce n'étais plus pareil. Je n'arrivais pas à m'y faire, je me disais que j'avais toujours Lawson, qu'on allait s'en sortir, mais ce n'était plus pareil, je n'avais plus Ana avec moi vingt quatre heure sur vingt quatre et c'était une réelle torture perpétuelle. C'est à ce moment là de ma vie que je me rendis compte que sa seule présence en soit constituait uns des moteurs de ma vie. J'ai posée ma tête sur l'épaule de Lawson et j'ai pleurée en silence. La vie a repris son cour à PEJ, doucement mais surement. J'étais plus proche de mon meilleur ami, je n'avais plus que lui ici. A ma grande surprise, je devenais de moins en moins dégoutée de la personne d'Elias. Il lui arrivait même parfois de venir prendre le petit déjeuné avec nous, au grand malheur de Lawson. Les jours où je voyait que ca l'ennuyait trop, je disais à Elias d'aller se faire voir. C'est clair que ces deux là était même pas comparable. Il partant en me fessant un clin d'œil. Je grimaçais, écœurée.
Le temps passait, Elias était de plus en plus collant. Un jour, il m'as coincée dans un coin et m'as il embrassé. Je n'ai d'abord pas résisté et puis je me suis finalement dégagée de lui en lui fichant une baffe dans la figure sous les gloussements de sa bande de suiveurs.
Et puis un jour alors que je disputais violemment avec Zachary dans le réfectoire, il est arrivé et à foutu son poing dans la tête du jeune homme en lui hurlant de me foutre la paie. Je suis restée bouche bée un instant puis je suis partie. C'est alors qu'Elias m'as rattrapé. Je l'ai laisser m'embrasser sans rechigner, fatiguée de tout le temps le repoussé. Depuis ce jour, nous somme devenu le " nouveau petit couple de PEJ ". Il n'as jamais cesser de me surprendre, se révélant de plus en plus humain envers moi. Law fessait la grimace à chaque fois qu'il me voyait avec Elias. Je ne pouvais m'empêcher de le trouver adorable, dans le rôle du meilleur ami jaloux, mais je m'en voulais en même temps, de passer mon temps comme ca avec quelqu'un d'autre que lui. C'est donc pour ca que j'ai commencée à consacrée toutes mes soirées à Lawson. Bizarrement, Elias n'étais pas jaloux de ce petit rituel. De toute manière, tout le monde savait ici que Law et moi étions meilleurs amis depuis l'age de pierre, pour moi, pour lui, pour tout le monde en fait, il n'y avait pas de problèmes là dessus. Et puis un jour après le couvre feu, alors que je me rendais discrètement vers le dortoir des garçons, afin de passé la soirée cachée sous la couverture de Law à discuter, je sentis des doigts se refermer sur mon avant bras lorsque je passais devant la salle d'arts plastique. Je sursautais et me retournais. Ce n'étais qu'Elias. Un sourire joueur se logeais sur ses lèvres, je lui rendis un faible sourire. Il me tirais à travers le salle et refermais la porte derrière lui. « Qu'est ce que tu fais ? » « Shuut.. » Sans ménage, il scellait ses lèvres aux miennes. Je fis un pas en arrière, surprise. Je laissais échapper une légère jérémiade lorsque mon bas dos butait contre lui des tables de la classe. Et puis, je permit à mes sens de prendre le dessus. Je passais mes mains derrière son cou alors que ses lèvres glissaient dans le mien. Je me laissais porter et le dessous de mes cuisses rencontrèrent la table. Je ne quittais ses lèvres que pour reprendre un souffle saccadé. Il reculais la tête, me lançais un sourire que je n'arrivais pas à décrypter. Puis il portait ses mains au niveau de ma poitrine et détachais le premier bouton de mon chemisier. Je savais ou il voulait en venir. Avec un rire nerveux, je posais ma main sur son torse en le poussant légèrement. Il sourit gentillement avant de se rapprocher et de m'embrassant encore, en passant eu deuxième bouton. Je me decolais de lui en essayant de le repousser encore une fois. Il n'avait même pas bronché. Il s'approchait encore une fois tout en s'attaquant aux derniers. Je sentais ses doigts frais courir sur mes hanches. Je frémis légèrement à leurs contact. Entre deux baisers, j'arrivais à glisser un timide. « A... arrête. » Je tentais une nouvelle fois de le pousser, cette fois plus fort. Il m'attrapais les poignets en se penchant un peu plus sur moi. Tellement que bientôt, je n'allais plus résister et laisser tomber son dos contre la table. Je gigotais les bras dans l'espoir de lui faire lâcher sa prise. Sans résultats. « Elias.. arrête ! » Était-il sourd ou bien ... ? Je ne voyais plus d'autres solutions, je relevais brutalement mon genou droit qui finis dans ses parties sensible. L'effet fut immédiat, il se redressait brutalement et reculais de deux bond mètres, plié en deux, en se tenant là où je lui avait donné le coup. Je me redressais à mon tour, j'y avait peur être un peut fort. « Excuse moi... » « Tais toi. » Sa réplique fut cinglante, cassatrice. Je sursautais, me remis debout et fis un pas timide vers lui. Entre deux jurons, il finit par lâcher. « Putain t'es bouchée ou quoi ? Qu'est ce que tu attends pour bouger dla ! » Ses paroles résonnaient dans ma tête. Je le fixais, les traits déformée par le choc. Ça finis par mariner dans ma tête, je portais mes mains sur mon ventre, comme si on m'avait à moi aussi donné un coup de poing dans l'estomac. Il me fixait d'un regard perçant et cruel, j'hoquetais, puis je sortis de la pièce en courant.
J'ouvris la porte à la volée qui allait lourdement tapée contre le mur. J'en m'en fichais un peu du bouquant que je pouvais faire, pour ainsi dire, je m'en fichais complétement. Plusieurs garçons sursautairaient dans leur lit et relevèrent les yeux vers moi, l'expression interrogatrice. Je me stoppais. Mes mains tremblait, je mis un bon instant et refermer le dernier boutons de mon chemisier. Je relevais la tête, passant le dos de ma main sur ma joue pour essuyer mes larmes. Ces dernières brouillaient d'ailleurs tellement ma vue que je n'y voyait quasiment plus rien. Soit. Mes jambes se mirent automatiquement toute seule vers l'endroit ou se trouvais Harold. Je savait ou il était, tout mon être le savait. C'était comme le point de rendez-vous au cas ou je me serait égarée... Et bien je m'étais égarée, et sacrement bien. Mes cuisses tapèrent dans quelque chose de dur, de froid. Je me laissais tombée sur les genoux et attrapais le drap de Lawson où j'y enfuis mon visage. J'aletais à plusieurs reprise, tentant tant bien que mal de respirer. Et puis je sentis des doigts glissés sur mon épaule, puis des mains passées sous mes aisselles et me soulever. Je me laissais faire, tel un pantin. L'instant d'après, j'étais sur le matelas de Lawson, qui me tirais vers lui. Je poussais sur mes jambes pour me rapprocher de lui, j'attrapais sa main et tirais dessus, pour que son bras me serre encore plus. J'avais besoin de son réconfort, plus que jamais. « Harold. » Il s'adossait au dos de son lit, je posais ma tête sur son torse et entremêlais mes doigts dans les siens. Je commençais à me calmer, son pouce essuyait délicatement le reste de mes larmes qui coulaient en silence. Et puis je réalisais que jusqu'à maintenant, j'avais toujours pleurer quand Harold était dans le coin. Comme si même mon inconscient savait que c'était le seul à pouvoir me consoler, le seul à toujours être là pour moi. Je relevais les yeux et constatais son voisin de lit en train de nous reluquer. Je fronçais les sourcils, attrapais le bout du drap de mon meilleur ami et le rabattais sur nos têtes. C'était notre bulle, plus que nous existions. Je repensais à tout à l'heure. Comment avais-je pu être aussi idiote ? Me laisser penser que Elias avait changer ? Il n'avais pas changer, il était juste devenu plus vicieux et sournois, comme un serpent qui étouffais sa prise avant de l'avaler. Une fois de plus, il retombais au plus bas de mon estime. Un pervers en manque, voilà ce qu'il était. Je fus à nouveau secouée de timides spasmes. Je commençais à avoir la main endolorit. Je me rendis compte que je serrait tellement la main de Lawson que le sang commençais à avoir du mal a fluctuer dans nos doigts. Je desserrais légèrement ma prise, sans pour autant je lâcher. Enfin, je levais la tête vers lui, il y avait quelque chose de beau dans les yeux, quelque chose qui me donnais envie de rester comme ca pour toujours. Je soufflais. « Dis moi que tu m'aimes. » Je voulais l'entendre, je voulais être sur qu'il était bien avec moi. Que mon meilleur ami était là, qu'il le serait toujours. Il se penchait et murmurait les douces paroles au creux de mon oreille. Je soupirais, ca allait mieux, maintenant. Je restais un instant là sans bougée, l'oreille collée contre son torse, bercée par les battements de son cœur. Et puis, je soufflais encore une fois. « Est ce... est ce que... je peux rester avec toi ? » Il sourit, se relevais et glissais au fond de son lit afin de se coucher. Je fis de même, me retournais et me retrouvais dos à lui. J'attrapais ses deux mains et les enroulaient autour de ma taille, logeant fermement mes paumes dans les siennes. Je me tournais vers lui un instant, lui sourit timidement puis repris ma position initiale, avant de succomber aux bras de Morphée en un instant seulement.


Trois semaines. Voilà trois semaines que l'incident "Elias" s'était passé. Je ne lui avait plus parler depuis ce jour. Je ne l'avait plus regarder pour ainsi dire. Lui non plus d'ailleurs, et c'était bien mieux comme ca. J'avais réussie à oublier ce passage malheureux, principalement grâce à Harold. Tout les jours, je remerciait le ciel de me l'avoir donner. J'ouvris l'œil et encore à moitié endormis, je tournais les yeux vers le réveil près de mon lit. Dimanche 18 septembre, six heure douze. Je me retournais en ronchonnant, il me restais encore un peu de temps pour dormir. Pour autant, je ne m'endormis pas, je fis plutôt un bond. Aujourd'hui, c'était l'anniversaire de Lawson, qui plus est, ses dix huit ans. Et qui dit dix huit ans à PEJ, dit liberté. Je jetais mon drap, sautais sur mes pieds et me mis à courir vers la porte du dortoir. Mon réveil précipité me fit voir des points noirs, je portais une main à mes yeux, tout en continuant à courir à l'aveuglette. Ça ne durait pas. Je rencontrais lourdement le mur à seulement un mètre de la porte. Je me frottais le front en ronchonnais, reprenant mes esprit un instant, puis quittais la pièce, sous les protestations de mes camarades de dortoirs. Je me précipitais deux couloirs plus loin, là ou se trouvais celui des ages supérieurs garçons. Je suis entrée en trombe en sous vêtements et j'ai sautée sur le lit de mon meilleur ami. « Harold harold lèves toi ! » Je le secouait lourdement et essayant de le tirer du sommeil à pleins poumons. Pauvre de lui. Il finis par émerger, et un franc sourire apparu bientôt sur ses lèvres. Ana, Lawson et moi, on avait tellement rêver de ces jours ou nous partirions de ce trou, qu'aujourd'hui c'est comme si j'allais partir moi également. J'étais tellement heureuse pour lui. Je détournais les yeux, un de ses voisins de lit avait les yeux figer dans notre direction. « Tourne la tête, pervers ! » Il n'en fit rien, en fait je m'en fichais, j'étais trop obnubiler par Lawson. Tout était parfait, Harold était libre. Harold allait maintenant débuter une nouvelle vie, une réelle vie. J'allais devoir attendre pour la mienne, c'était dur, c'était ainsi. Pourquoi, il fallait que je fasse quelque chose, comme la fin d'une nouvelle vie, le début d'une nouvelle. Je sautais dans ses bras, pliait les jambes quand il me soulevais avec facilité, en enfouant mon visage dans son cou. L'instant était juste parfait. Il collait ses lèvres sur ma joue. Il y avait quelque chose dans ma tête qui réclamais autre chose que ses lèvres sur mes joues rosies, quelque chose que je n'arrivais pas à ignorer. Il fit courir ses doigts contre mes joues, mêlant son souffle saccadé au mien. Et puis, sans vraiment comprendre, j'ai collée mes lèvres contre les siennes. Et c'est comme si un vide s'était comblée. Harold avait toujours été Harold, mon meilleur ami. Je me sentais un peu gênée, et pourtant je ne voulais surtout pas quitter ses lèvres. J'y fus pourtant contrainte. J'agrippais sa manche quand il reculais précipitamment, avant de totalement perdre son contact. Là, à mes pieds, Elias était penché sur Lawson, en train de le ruer de coups. J'avais beau lui hurler d'arrêter, c'est comme s'il n'entendait pas ma voix. Un des garçon du dortoir s'est alors approcher pour les séparer, il s'est pris un coup de coude dans l'estomac, à reculer précipitamment sous le choc avant de croiser les bras sur son ventre et de se plier sous la douleur. Ça avait quelque peu refroidis ses camarades. J'étais seule, et il n'arrêtait pas. Je commençais vraiment à paniquée dur quand Harold repris le dessus, laissait cloué au sol Elias. Je le regardais se relever, croiser mon regard puis quitter la pièce. Je m'apprêtais à le suivre quand la voie d'Elias perçait le silence. « T'es rien d'autre qu'une pute Aelis ! » Je me figeais, baissais la tête. Et puis, sentant tout les regards des garçons sur moi, je me mis à courir vers la porte. Je voulais aller trouver Lawson, mais ne sachant ou il était partit, je suis retourner dans mon dortoir, je me suis enfouie sur mes couverture et j'ai pleurer en silence.


Harold était partit, il était libre. J'avais eu à peine le temps de me remettre de ce qui s'était passé le matin et de me glisser une dernière fois dans ses bras, qu'il était partit. Et je me rendis compte de l'effet destructeur que pouvais avoir sur moi le fait de me retrouver seule le jour où la porte s'est refermer sur lui. Ça avait été tout aussi pour dur Ana, sauf que j'avais eu mon autre meilleur ami pour me consoler. Cette fois ci, je n'avais aucunes épaule sur laquelle me poser. J'étais restée là à contempler la grande porte de bois, je ne sais combien de temps. Arrachée par la fatigue, je suis allez me coucher. J'ouvris l'œil le lendemain matin et là, j'eus une idée magistrale. J'avais envie que cette journée soit la plus belle de ma vie. Et puis la réalité m'est retombée dessus. Sauvagement, brutalement. Le lit d'à côté était vide, la place en face de moi au repas aussi.
Le quotidien avait perdu ce coté pétillant, il était même carrément désolant... Les jours étaient tellement long, mais je n'avais plus cette motivation que de me dire que dans X heures, je serait à nouveau avec mes deux amis. Il n'y avait plus personne, il n'y avait que moi. « Alors Beresford, tu fais moins la maline maintenant que t'es toute seule hein ? » « Ferme-la Jeremiah. » Je lançais un regard mauvais au dit-Jeremiah. Je me félicitais de savoir si bien garder enfouis en moi mes émotions. Jeremiah était un con, mais il avait touché le point faible. Oui j'étais toute seule, oui je n'avais jamais été si perdue, et oui je m'écrasais, maintenant. Ce n'était pas si terrible, j'allais les retrouver dans quatre mois, d'accord. Mais vous, si ont vous avait indiquer le même lieu de rendez vous au cas ou si vous vous perdiez pendant dix huit et que du jour au lendemain, on vous aurait purement dis qu'il n'existais plus, qu'auriez vous fait ?
Deux mois, il ne me restais plus que deux mois à tenir. Un soir d'hiver, je tapais sur mon oreille pour qu'il prenne une belle forme avant de rabattre ma couverture par dessus. Parfait. On aurait presque dis une Aelis endormit. Je m'éclipsais rapidement du dortoir, avant que les autres filles ne fassent leur apparitions. Je flânais dans les couloirs de PEJ, sans trouver d'endroits ou aller. Je m'arrêtais dans une des salles de cours, farfouillais dans un tiroir, en sortis un stylo et une feuille et me mis à écrire des lettres au hasard. Puis, je me mis à les relier une après l'autre, pour former des mots. Je soupirais. Je me fessait vraiment très chier. Le soir était devenu le pire moment de mes journées, parce que je n'avais rien d'autres pour me distraire que mes pensées. Évidement, elles était toujours vers Ana et Lawson. Où étaient-ils ? Que fessaient-ils ? Leur manquais-je autant qu'ils me manquaient ? Bien sur, ces questions restaient tout les soirs sans réponses. Et tout les soirs, j'étais un peut plus frustrée que la veille. Je priais juste pour que mon départ de PEJ arrive avant mon point de saturation. Je chiffonnais mon papier et le balançais à travers la salle, énervée. Je finis par me résigner et me remis en route vers mon dortoir. Au moment ou je posais la main sur la poignée, je me figeais pour autant. Encore des voix bases de l'autre coté de la porte, je détestais ca, j'entrais et les yeux se figeaient sur moi. Oh et puis mince, je n'allais pas attendre là comme une conne. AU moment ou je m'apprêter à pousser la porte, une bride de conversation me parvint. Une conversation qui semblait intéressante.
« Piou, j'arrive pas à croire que c'est demain qu'Elias se casse. Je suis dégoutée, j'aurais été tellement fière d'avoir réussie à me glisser dans son lit, si tu vois ce que je veux dire. » « Je te jure, trop grande déception, là ! » « Au fond, on s'est bien toutes fait avoir avec lui... » « Nan mais c'est comme cette histoire avec Aelis tu sais, un véritable gâchis quoi. » « Comment ca ? » « Quoi, t'es pas au courant ? C'est Jeremiah qui me l'as dis. Pauvre fille, elle me fait de la peine en fait... » « Attends pause, de quoi tu parles là ? » « Bah tu le fais exprès ou quoi ?! L'an dernier, Elias à parier avec Jerem' et les gars qu'il se ferait cette petite coincée d'Aelis avant qu'il se casse d'ici. » « Nooooon ? Putain, pourquoi je suis jamais au courant de rien moi bordel ? » « Si j'avais su, je me serait bougée un peu plus le cul pour que ce soit moi, cette meuf du pari ! » « M'en parle pas ! »


Je sentis tout mon corps se mettre à trembler. Ce n'est pas possible, je devais forcement rêver. Et puis je me souvint. Sa gentillesse soudaine, les gloussements et clin d'œils incessant de ses salopards de copains, le coup de la salle de classe... Je sentis les larmes monter, je me retins mon autant, mordant ma lèvre si fort que je finis par sentir un léger gout du sang du bout de la langue. Je ne devais pas être faible, je devais être forte. Plus forte que lui. Alors c'était ca, je n'étais qu'un nom de plus à son tableau de chasse, une trophée supplémentaire à exposé ? Une bile de rage remontais dans ma gorge, je me retins pour autant du mieux que je le pouvais d'explosé. Pas maintenant, pas tout de suite, pas tant qu'elles n'avaient pas finis leur petite saloperie de discution et qu'elles se serait pas endormis profondément, fantasmant sur ce si charmant Elias.
Je serais les dents, elles n'allaient donc jamais s'arrêter de causer ? Je ne tenais plus, je devais faire quelques chose. Les larmes me montèrent finalement, et cette fois, j'avais beau essayer, je n'ai pas réussie à les retenir. Je portais une main sur ma bouche, étouffant comme je le pouvais mes moindres bruits. J'en voulais à Elias, mais surtout et avant tout, je m'en voulais à moi. Moi, qui avait pu être si naïve, si facilement influençable. En temps normal, je me plaisais à me moquer de ce genre de personnes faible... Je me détestais. Je détestais cette partie de moi que je m'étais toujours jurer inexistante. Cette partie où j'avais beau hurler le contraire, était toujours là pour me rappeler mes faiblesses. Je repris doucement mes esprits puis mes jambes s'articulèrent d'elles même. Je ne savais où j'allais, je fuyais c'est toit. La première porte que je rencontrais se trouvais à ma gauche, c'était une des toilettes des filles. Je poussais la porte, tapotais le mur afin de mettre la main sur l'interrupteur. Je fus légèrement éblouie lorsque la lumière jaillit, puis je me dirigeais d'un pas las vers l'un des lavabos surmonté d'un miroir. Je scrutais le reflet et eu un léger mouvement de recul. Il fallait dire que j'offrais un piètre spectacle ainsi. Les yeux rougit, les pommettes brillantes et ruisselantes de larmes et surtout un filet de sang s'échappait du coin gauche de ma lèvre inférieure. Assez de sang pour me mettre mal à l'aise. Je ne suis pas une mauviette du sang, juste quand c'est le mien, voilà tout. Je passais plusieurs fois les paumes sur mon visage, puis j'ouvris le robinet d'eau froide. Je rinçais précipitamment les mains et m'attelais à rincer le suis et sous mes lèvres. Enfin, je me penchais et plongeais plusieurs fois mon visage das l'eau baignant en coupe au creux de mes mains. Je frottais ma manche plusieurs fois contre ma peau et fixais à nouveau mon visage dans le miroir. Voilà qui était mieux. Bon, le sang coulait encore un peu, mais c'était tout de même mieux que rien. Il me suffirait simplement de compresser le bas de mon tee-shirt de temps à autre contre ma lèvre et le tour serait joué. Je me sentais un peut mieux, comme si j'étais maintenant nettoyée d'un poids. Pour autant, mon corps ne semblait pas de cet avis là, et c'est avec une impatience certaine que j'essayais tant bien que mal de contrôler le tremblement de mes mains. En vain. Je fixais une dernière fois mon reflet. J'essayais de me calmer, je n'y arrivais pas. Je joignis mes mains devant mon visage, tachant de respirer calmement. Je n'y arrivais pas, je n'y arriverais pas ! Je me retournais, cherchant des yeux le premier objet venu. J'attrapais une des petites poubelles des toilettes et la balançais sur le miroir. Je ne voulais plus voir ce reflet, je ne voulais plus me voir. J'avais honte de ce qu'il me renvoyais. Un grand fracas s'en suivis. Sept ans de malheur pour avoir cassée un miroir. Je me demandais si je n'avais pas cassée de miroir à la naissance et qu'il y avait eu une exception de dix sept ans pour moi... Je me penchais et ramassais un des morceau vacant. Je scrutais le bout d'image qu'il me renvoyait. Ma bouche, ma joue, puis mes yeux. Je me crispais, et j'eus mal. Je lassais tombé le bout en hoquetant. J'avais tellement serrer le morceau dans ma main qu'il avait entaillé ma peau. La vive douleur me rappelais pourquoi j'étais là, à coup de décharges de haine. Je portais ma main devant mon visage et luttais pour me remettre debout. J'avais une belle entaille de long en large de ma paume. Une sensation de déjà vu me parvint. C'était à cet endroit que je m'étais brulée la main la première fois que j'avais eu une réelle conversation digne de ce nom avec Elias. Elias... Je serais les dents, c'était à cause de lui tout ca. A cause de lui que je me retrouvais là. Je scrutais d'un œil mauvais les morceaux cassés, avant de me retourner et de quitter précipitamment les toilettes. J'arrivais devant la porte de la pièce ou se serait trouvé Lawson quelques semaines plus tôt. Je poussais doucement la porte, m'approchais à la lumière de la ville qui filtrait à travers les volets du lit ou se trouvait Elias et me stoppais devant. Il dormais tranquillement, les trait détendus. Et puis, je songeais. Ou était la justice la dedans ? Lui pouvait dormir paisiblement alors que moi j'étais sans cesse tourmentée ? Qui était alors le fautif là dedans ? Ma main commençais sérieusement à saigner, j'esquivais une légère grimace. Puis sans réfléchir, j'attrapais un pend de son bras qui dépassais et frottais délicatement ma paume dedans en serrant les dents. Me vint alors une idée. Certes horrible, mais une idée quand même. Je m'accroupis auprès de son lit, lâchais le bout de bras et passais mon index droit sur ma blessure. Puis du même doigt, je me mis à dessiner des lettres sur son drap, juste au dessus d'où je m'étais essuyer. salopard. Un idiot, un connard, un salop. Voilà ce qu'il était à mes yeux. Je voulais que tout le monde le sache, que tout le monde le voit enfin. J'approchais ensuite ma paume vers son poignet et passais doucement dessus. Une trace rougeâtre passait au dessus de sa main. Je me relevais, fière de mon petit effet.
Puis, le plus silencieusement possible, je m'approchais de son armoire, juste en fasse de son lit, l'ouvris et pénétrais à l'intérieur. Je m'assis par terre de façon à pouvoir au maximum allonger les jambes et à avoir correctement accès à la petite ouverture entre les deux battants de l'armoire. C'était complétement débile, mais je voulais absolument voir sa réaction, j'avais l'impression que j'allais me sentir un peut mieux après ca. J'attrapais une de ses chemises qui frôlait mon front, tirant dessus pour qu'elle tombe du cintre. Sans regarder le vêtement -il fessait d'ailleurs trop noir pour y voir quelque chose-, je l'entourais autour de ma main et serait un nœuds avec les deux manches en guise de garrot. Je posais ma tête contre le mur, enfin un peut de calme. Cependant, j'entendais encore mon cœur dans tout corps, je fermais alors les yeux et me concentrait quelques instants sur ma respiration. Là, ca allait mieux, je me sentais beaucoup plus calme. Je frottais mes yeux, passais une main dans mes cheveux. Et puis finalement, sans vraiment m'en rendre compte, tombais au bout de quelques secondes dans un profond sommeil.
Je me promenais dans un désert de sel. Je marchais tranquillement, il n'y avait rien autour de moi que l'horizon. J'observais un instant le paysage, quand j'entendis du bruit à ma gauche. Je tournais vivement la tête, une marmotte me fixais, debout sur ses petites pattes. Je souris, qu'est ce qu'elle était mignonne. Je m'approchais doucement d'elle dans le but de ne pas lui faire peur, afin de lui demander mon chemin. Je sursautais quand elle pris la parole. « Qu'est ce que tu fait ici seule ? » « Je suis perdue... » « Non c'est impossible de se perdre ici. » « Si, je marchais et... » Je désignais d'un vague geste de la main l'étendue autour de nous. « Tu mens. » « Non c'est la vérité, je vous assure. » « Alors, qu'est ce que tu fais là ? » « Je vous l'ai déjà dis, je me suis per.. »
« QU'EST CE QUE TU FAIT LA ? »
Je sursautais. Pourtant cette fois, je sentis quelque chose de dur sous mes fesses. J'ouvris difficilement un œil. La lumière éblouissante me prouvait que c'était bel et bien la réalité. Je portais mes mains à yeux pour les cacher de la lumière. Et puis, je sentis quelque chose, comme du tissus, dans ma main gauche. Réalité. Je relevais la tête sur Elias. Réalité. Mes deux portes de son armoire étaient grande ouverte, visiblement, je m'étais assoupi... Je repliais mes jambes sous moi, tentant de de me relever, tant bien que mal. Je me laissais lourdement retomber sur le sol. « C'est toi qui a fait ca ? » Il secouait son draps au dessus de mon nez, je fixais ses yeux sans prendre la parole. Puis, il tournait la tête vers ma main. « Qu'est ce que t'as foutue ? » Il attrapait mon poignet et me tirais vers lui afin de me relever. Je grimaçais, puis essayais de retirer ma main. Je n'y arrivais pourtant pas, il me serais tellement fort que bientôt, le sang n'allait plus pouvoir affluer dans ma main. Puis de son autre main, il arrachais mon semblant de bandage et le jetais un sol d'un geste furieux. Je le scrutais sans bouger, il n'avais toujours pas lâché mon poignet. Je fixais ses yeux remplis de rage. On restaient là un instant à se regarder dans les yeux, sans pour autant bouger. Puis, il attrapait mon deuxième poignet et avançait de quelques pas. Je reculais précipitamment, essayant tant bien que mal de ne pas trébucher. « Lache moi Elias ! » Je sentis quelque chose de dur contre mon dos, le mur. Je ne l'avais jamais vu comme ca, je crois que s'il avait eu le pouvoir de me tuer d'un seul regard, je serais déjà sous terre à l'heure qu'il était. « Fais pas de conneries mec... » Je le lâchais un instant des yeux pour essayer de trouver d'où était venu la voix. Ils étaient tous là, les mecs du dernier dortoir, en cercle autour de nous, en train de nous regarder. N'y en avait-il pas un seul dans le lot foutu de venir résonner ce fou furieux ? Je mentirais si je disais qu'à cet instant, je n'avais pas peur de lui. Pourtant, je sentis ses doigts se desserrer, jusqu'à me lâcher. Je laissais lourdement mes bras retomber le long de mon corps. Je me massais les poignets en m'autorisant une grimace de douleur. « Allez, casse toi... » Je me figeais. Le soulagement d'un instant après qu'il m'ait lâché s'évaporait aussitôt. « Tu ne me parle pas comme ca. » Il relevais vivement la tête, reculais d'un pas. Je cru qu'il allait laisser tomber, c'était mal connaitre Elias. « JTE PARLE COMME JE VEUX, MAINTENANT CASSE TOI SALOPE ! » Je me jetais sur lui, les bras en avant, dans le but d'atteindre sa gorge. J'avais réagis sur le qui-vive et pourtant, il avait eu le temps de réagir. Je sentis le poids de la douleur s'abattre sur moi. Je me retrouvais projetée contre un des gars du dortoir. Je portais ma main sur ma joue, là ou j'avais reçue le cou et tout en m'appuyant sur son épaule pour me relevée, je le repoussais le plus loin possible de moi. Je rester figée un instant, à le fixé d'un regard mauvais, puis je me tournais vers la porte, tête baissée et me mis à marcher doucement vers cette dernière. Alors, il avait gagné ? Impossible. Sans crier garde, je me retournais vivement et piquais un sprint sur quelques foulées qui me séparaient de lui. Cette fois, il n'eut pas le temps d'anticiper que mon poing entrait en contant avec sa mâchoire. Il tombait à la renverse. Je m'apprêtais à m'accroupir pour continuer à le ruer de coups quand je sentis des bras entourer ma taille. Mes pieds décolèrent du sol, je me débâtait tant bien que mal, en vain. Je rencontrais enfin le sol, prête à me jeter sur Elias à nouveau que on me poussais en arrière. Le temps de reprendre mon équilibre, la porte du dortoir se refermais sur Jeremiah. Je restais une seconde plantée là, incrédule. Puis j'entendis la clé tourner dans la serrure. Mon sang ne fit qu'un tour. Je me mis à m'atteler la porte de la pièce de coups. Et puis au bout d'un moment, ca s'est calmé derrière, j'ai tendue l'oreille, je n'entendais plus hurler ni rien. J'ai levée les yeux sur une horloge. Sept heure quarante, c'était aujourd'hui qu'Elias allait partir de PEJ... Je me remis une route vers mon dortoir, entrait discrètement et allait me glisser dans mon lit. Mes fermais les paupières, priant pour que le sommeil m'emporte à nouveau.
« Trésor, qui t'as fait ca ? » Je fixais le sol, les mains jointes et laissais la sœur poser délicatement ses doigts sur mon menton. « Je me suis cognée à la barre de mon lit en tombant... » « Et ta main ? » Je lançais un regard rapide à ma paume, dans un sale était. « Coupée à un miroir... » Elle me lâchais et soupirais. « Petite, ca fait beaucoup. Tu peux tout me dire tu sais. Et puis, qu'est ce qu'il t'es arrivée à la lèvre, tu saignes ? » « MAIS C'EST RIEN PUTAIN ! » Aussitôt, je regrettais mes paroles. Tout ce qu'elle voulait, c'était m'aider, tout ce que je voulais, c'était qu'on me fiche la paix. Étais-je pour autant obliger de me comporter ainsi ? « Aelis, je sais que tu est blessée, mais ce n'est pas une façon de parler... Alors on va soigner tout ca. Puis la semaine prochaine, tu aideras sœur Madeleine aux taches ménagères, j'espère que tu a compris le mal de tes paroles. » Je secouais légèrement la tête en soupirant, si c'est ce qu'il fallait pour faire oublier ce passage. Cette nuit...

Je fessais les conneries seule, c'était beaucoup moins marrant. Alors pour m'occuper, je me suis remise à la fumette ( j'avais décidée d'arrêter après l'incident sœur Elisabeth au fond du jardin ). Tous les jours à cinq heures de l'après-midi, après les cours, je me faufilais au fond du jardin de PEJ et grimpais au grand chêne. Les premières fois ont d'abord été laborieuse. Et puis, avec le temps, j'ai comprise à qu'elle endroit il fallait que je pose mon pied pour grimper sur la première branche, et celle ou je pouvais m'avoir sans être vue et au contraire, celles qui risquaient de me vendre. De là, j'avais une vue imprenable sur l'autre côté du mur, j'étais presque capable de toucher du doigt l'agitation, la vie au delà de PEJ. J'y voyais Ana et Law en plus des sorties en ville, ca me fessait un bien fou. Il ne me restais plus que deux mois à ternir, quand de l'autre coté du mur, ils ont installés un lampadaire. Le bon dieu et sa grande clémence était avec moi. Mes premières acrobaties pour descendre le long de la barre ne furent pas très concluant, encore que c'était toujours plus facile que d'y remonter. J'avais adoptée la technique barre de pompier pour descendre. Pour remonter, Ana et Law étaient obligés de me pousser les fesses afin que j'arrive à attraper le haut du mur du jardin. Je me retournais alors vers eux, leur glissais un baiser avec ma main et sautais ensuite sur ma branche et arrivais pile à temps pour le diner, ni vu ni connu.
Je me souvint du premier jour de cette nouvelle offense au règles de l'orphelinat. Ce jour d'hiver, alors que je sautais pied joints sur le trottoir, manquant de m'étaler de tout mon long, du sentiment de liberté qui m'as envahi. C'était différent de d'habitude. Aucunes sœurs n'était derrière moi, je fessais ce que je voulais allait ou je vous voulez, et ce, sans que personne ne le sache. Qui s'y seraient attardé à ma disparition, à l'intérieur, de toute manière ? Ana et Law étaient mes deux seuls vrais amis, et ils n'y étaient plus, j'étais donc aussi invisible que l'air à cet instant présent.
Au fil du temps, c'était devenue une habitude incontournable. Clope et mes deux acolytes à cinq heures la semaine. Il ne m'est arrivée qu'une seule fois de rentrer après leur que je m'étais fixée. C'était un vendredi, j'avais appris par discrétion à l'orphelinat qu'Elias Walsh serait à une soirée sur un bateau ce jour là. Mon sang n'avait fait qu'un tour. Le coup d'un petit mot sur son drap n'avait pas suffit, je n'étais pas assez vengée. Nous sommes donc partis, mes deux amis et moi, à cette fameuse soirée. A mon grand malheur, impossible de mettre la main sur mon ex, je suis donc rentrée ressignée aux alentour de trois heures. Ana elle, ne semblait pas insatisfaite de sa soirée, je ne saurait pourquoi que plus tard... En rentrant, je me suis glissées par la porte de service, toujours ouverte. Je suis passée devant Charles le gros cuisiner apparemment de veille mais pourtant lourdement avachis sur une chaine en train de ronfler bruyamment. Je passais devant lui tel une petite souris sans qu'il ne me remarquer. Au petit matin, c'est sœur Madeleine qui me réveillais pour savoir ou j'étais au moment du diner la veille. Je barbouillais que je n'étais pas bien et que j'étais rester couchée dans mon lit. Moyennement satisfaite de mon excuse, elle allait pourtant devoir s'en contenter faute de preuves. Au fil des semaines, j'explorais cette nouvelle partie de moi qui consistait purement et franchement à snober toute sorte de règles en général. Harold et Ana aussi d'ailleurs. A chaque fois que je les voyaient, ils lançaient de temps à autre des regards en biais. Tournaient le dos au flic qui passaient. Si bien qu'environ un mois avant ma sortie, il ne m'attendais plus en bas du réverbère mais je les rejoignais dans un endroit que je nommais intérieurement le Dis-tau. Autrement dis, le taudis. Une sorte d'ancien loft abandonné où ils avaient élus domicile. Ils me racontaient leurs aventures, leur nouveau business. J'étais un peut effrayée au fait qu'ils se livrent à ce genre d'activité ( à savoir, Lawson fessait le dealeur, Ana la tueuse à gage ). Mais je leur fessais pour autant confiance, quoi qu'ils fassent, ils le feraient prudemment. Et surtout, ils le feraient bien. Donc, soit.


Viens le jour ou je suis enfin sortie de ce paradis piégé. Dix huit ans que j'étais ici, j'étouffais vraiment. Autant dire que la minute après mon autorisation de départ, j'étais déjà dehors à sauter dans les bras de mes deux acolytes. La seule et unique bonne nouvelle était en fait que j'étais à nouveau avec eux, pour de bon et pour toujours. Plus rien ne ne separaient à présent. Je savourais la nouvelle, plus heureuse que jamais. Je les seraient dans mes bras jusqu'à l'étouffement, puis nous partions vers notre nouveau " chez nous ". La vrai vie à commencée, en fait c'était un peu pareil qu'à PEJ : on dormaient, on mangaient, on chiaient. Sauf que devais le faire tout seul. Pour manger, il fallait de l'argent, et pour trouver de l'argent, il fallait travailler. Mais comment, où ? Un soir, je me suis fait accostée par un mec dans un soirée, il recherchait, je cite, des " belles filles comme [moi]". Le job, c'était d'accompagner des hommes à des soirées mondaines, sans plus. Faute de mieux, j'ai pris. En général, mes clients étaient toujours les memes, certaines étaient plutôt gentil avec moi, ca devait plutôt être de la pitié. Je ne dépendais de personne, les soirées étaient assez écartées dans le temps, et les paies plus que bonne, j'ai appris à apprécier ce job, à l'accueillir à bras ouvert. Quand je voyais ce à quoi Lawson et Ana étaient obligés de faire pour ramener leur part du " loyer ", je m'estimais assez heureuse, en fait.
Et puis un jour, on en eu marre de ce quotidien malsain, répétitif. J'ai appris de fil en aiguille que ma mère était française, je me suis mise en tête d'aller farfouiller dans mon passé, ce que j'étais en fait. J'ai lancée l'idée auprès de mes deux acolytes : trois mois chacun de son coté. Ils étaient d'accord, ils en avaient également marre de cette vie, cette routine. J'allais donc partir pour trois mois en Bretagne, sans vraiment savoir ce que l'avenir me resservais.


Deux mois. Voilà deux mois que j'étais arrivée à Brest et tout ce que j'avais trouvée, c'était un grand : rien. Ce n'était pas faute d'avoir essayer, vraiment, mais il fallait dure en même temps qu'en partant de rien... Maintenant, je me sentais juste idiote d'avoir lancée auprès de Law et Ana. Je me sentais cruellement seule, également. Mahé à levé le bras, j'ai suivis sa main des yeux, portant mon regard vers le ciel. « Là, tu vois ? » J'ochais faiblement la tête, il avait du prendre mon silence pour une affirmation. « C'est la grande ours, ma préférée. » Je scrutais le ciel, je crois qu'hormis les yeux de Lawson et le sourire D'Ana, je n'avais jamais rien vu d'aussi beau. Mes pupilles ne savaient pas ou s'arrêter tellement je voulais regarder d'étoiles à la fois. Et puis, je me demandais comment avais-je pu passer à coté de ca ? De ces merveilles qui nous entouraient chaque nuits ? Je crois que je ne les avaient pas vus car je ne m'étais jamais donner la peine de les voir. « Merci Mahé... » Je l'entendit bouger. Je tournais la tête vers lui, il avait fait de même. « ... de m'avoir fait partager ca. » Il me sourit. Je le fixais un instants, ses pommettes rosies, son large front et ses trois taches de rousseur sur l'arrête du nez, et je fis de même. Puis, je relevais les yeux vers le ciel, pour rien au monde je n'aurais manqué un instant de ce spectacle magique. Mahé était un breton d'origine, avec du sang anglais. Sa mère était partie vivre en Angleterre, sauf que son dit grand amour l'avait lâchement abandonné lorsqu'il avait su qu'elle était enceinte. Ce qui l'avais fait fuir ? La jeunesse, la lâcheté ? Je n'en savait rien. J'y reconnaissais juste un peut de mon propre père... La jeune femme avait donc prise la décision de revenir dans sa région d'origine, et de garder l'enfant, maintenant âgé de dix-sept ans. Il me fessait penser à Harold de part sa gentillesse et à Ana de part son optimisme. En fait, il était le compromis idéal au manque certain de mes meilleurs amis. Il était en revanche bien plus que cela.
J'avais passée les deux premières semaines de mon " séjour " à vaquée entre motels miteux, chambres d'inconnus la nuit et plages désertiques, ruelles et bistros reculés la journée. Une nuit, faute d'argent et d'idiot à embobiner, j'avais passée la nuit recroquevillée derrière une dune, calée entre deux grosses souches. L'air marin glacial m'a fait jurer de ne plus jamais recommencer, sous aucuns pretesques. Et puis un après midi tranquille, je l'ai aperçu. Accoudé au bar, en grande discution avec le barman. Il avait tout du jeune homme gentil et naïf à souhait. Parfait. J'avalais ma dernière gorgée et m'apprêtais mentalement à aller lui parler quand il me pris de cours. Il tournait la tête vers moi, puis d'un pas assurée, se dirigeait dans ma direction. Je me figeais, ne sachant que faire, les yeux rivés sur lui. M'étais-je fais repérer, à scruter les gens ainsi ? Non, impossible. Et pourtant...
« Hey, tu est nouvelle dans le coin ? » Nouvelle ? Je savais que j'avais passée par mal de temps dans cet endroit ces derniers temps, mais de là à passer pour une nouvelle résidente du patté de maison ? Et en plus de cela, une résidente ivrogne ? Le garçon détournais la tête, pointait un doigt vers le barman occupé à essuyer des verres. Il nous lançait un signe de main en retour. « C'est mon oncle. » Je le fixais sans broncher, essayant tant bien que mal de comprendre l'intérêt de ces paroles. Pourquoi me disait-il tout ca ? En fait, pourquoi me parlait-il ? « Au fait, je m'appelle Mahé. Je peux ? » Il posait sa main sur le dossier de la chaise en face de moi. Je fixais cette dernière un instant, avant d'ocher faiblement la tête. Je n'avais toujours pas prise la parole depuis qu'il était arrivé, ne sachant que dire, prise sur le fait. Cependant, il ne semblait aucunement gêner. Je me demandais si tout les Français avaient cette habitude de " sauter " ainsi sur des personnes inconnues lorsqu'il voulaient entamer une conversation. « Alors, comme ca, tu débarques ? » Il accompagnait ses paroles d'un franc sourire. Ce n'était pas possible, il ne ressentait aucunes gènes à parler à un mur ? Et puis, à quoi bon ? Il était là, j'étais là. Avoir quelques connaissances dans un payas étranger, ca ne fait jamais de mal, au contraire. « Je suis arrivée il y a deux semaines. » « Oh d'accord, et qu'est ce qui t'amène dans notre belle Bretagne ? » Il eut un rire léger, je ne bougeais toujours pas, hormis peut être les lèvres. Je levais un sourcil avant de glisser finalement : « Le vent. » Il sourit de plus belle. « Oh intéressant. » Je soufflais légèrement, pinçais les lèvres en un léger sourire gêné, me relevais et calais mon dos contre mon dossier de chaine. A peine un instant plus tard, j'entendis le dit-oncle l'appeler au loin. Je scrutais son visage et l'expression déçue dans ses traits. Il se levait, puis se dirigeait vers le bar. Je ne le quittais pas des yeux. Il griffonnait rapidement quelque chose puis revint à nouveau vers moi. « Si jamais le vent te pousse trop loin et que tu t'égares... » Il posait délicatement un bout de papier sur la table. Je le contemplait un instant avant de relever les yeux vers lui. Ses lèvres s'étirèrent, puis il quittait le bar sans se retourner. Voilà, c'était finis ? Ce dernier quart d'heure s'était déroulé comme pas plus de quelques secondes et je commençais à regretter cette présence lourde, certes, mais aussi quelques peut rassurante. Je scrutais les numéros sur le de papier. Caraisait-il vraiment l'illusion que j'allais vraiment lui téléphoner ? Et pour dire quoi, au fait ? Je me levais, allais régler au barman puis quittais cet endroit. Je relevais ma gauche devant mon visage et ouvrais les doigts sur le bout de papier niché au creux de ma paume. Je finis par le froisser, poussant un soupir et jetais ce dernier dans la première poubelle que je croisais. Peut être avais-je fait une erreur. Mais si je ne savais pas ce que je voulais, je savais ce que je ne voulais pas. C'est-à-dire, quelque chose à quoi j'étais accroché, d'un moyen ou d'un autre. Et c'était bien la dernière chose dont j'avais besoin.
Trois jours plus tard, je me promenais en fin de matinée sur le port. C'était un de ces rares jours où pas un seul nuage logeait le ciel. J'ôtais mon sweat que je nouais sur mes épaules, faute de place dans mon sac à dos. Je m'arrêtais un instant, fermais les yeux et laissais l'air marin lécher mon visage. Cette sensation si agréable avait le don de me mettre de bonne humeur pour la journée. J'étais en quelque sorte tombée amoureuse de ce contexte, de cette atmosphère nouvelle tout autour de moi. J'ouvris les yeux en un large sourire et me remis en route. Il n'y avait pas grand chose de passionnant en ce soin du port pour tout civil banal. Sauf que un peut avant midi, les bateaux de pèches rentraient de mer, puis déchargeait leurs marchandises et pour moi, il n'y avait rien de plus patinant, justement. Quelques bateaux étaient déjà arrivés, je m'approchais, m'apprêtant à nouveau à passer l'heure là, à regarder. Je tournais les yeux vers un petit bateau quand je l'aperçu là, debout au niveau du bateau en train de nouer des cardes avec agilité. Je reculais d'un pas, il relevais la tête, je fis mine de me détourner. Et merde, c'était sure qu'il m'avait vu. C'était une bonne journée, j'étais censée être de bonne humeur. Je décidais donc de continuer ma route, et lui adressais un signe de main discret quand je le dépassait. D'un coin de l'œil, je le vis approcher dans ma direction. C'était à prévoir. « Bonjour. » « Salut, qu'est ce que tu fais là ? » Un tricot. « Je me promenais, voir les bateaux. Enfin tu sais. » « Oh, tu aimes les bateaux ? Tu veux venir voir le mien ? » Le sien ? Sérieux, il avait un bateau ? Je ne pu négliger ce sentiment grandissant de jalousie en moi. Essayant un maximum de cacher mon excitation, j'ochais plusieurs fois la tête. Il fit volte face, je pressais le pas pour le rattraper et marchais à son niveau. « En fait, c'est celui de mon grand père. Ma mère l'aide pas pour le financement. C'est pour ca que je peux le prendre quand je veux, c'est plutôt cool. » Il besait la tête et sourit. « ... quand mon grand père ne s'en sert pas bien sur. » Il s'arrêtait au niveau d'un plutôt petit bateau, mais assez imposant tout de même. Il me fit signe d'attendre sur le pond et s'engouffrait dans la cabine du bateau. Je levais la tête, trois mouettes improvisaient une sorte de balais non loin de là. Je revint à mes esprits quand Mahé ressortit de la cabine et s'approchait de moi. « Ça te dis un tour en bateau cette après-midi ? » Je n'aurais pas cru cela s'il m'en avait dis qu'à cet instant précis, mon visage n e s'était pas illuminé. Je me repris pour autant, mais ne pouvant pas m'en empêcher, je répondis, un large sourire sur le visage : « Oui bien sur... j'aimerais beaucoup. » A cet instant, un homme d'un age avancé sortit à son tour de la cabine. Mahé se tournait vers lui puis vers moi. « Je te présente mon grand-père. Papy, voici... » « Aelis. » Il tournait la tête vers moi et me sourit, les pommettes rosissantes, puis au bout d'un instant qui semblait duré une éternité, il se tournait vers son grand-père en répétant mon prénom. Il m'adressait un signe de la main, je fis de même, timidement. Le midi, nous avions été acheter des sandwich chaud dans une baraque de plage et avons déjeuner les pieds dans le sable. J'ai su comment il n'avait jamais connu son père, sa vie en France. Il à su d'où je venais et comment j'étais arrivée là. Je réalisais que je ne m'étais jamais confié du tout. Bien sur, Law et Ana savaient déjà tout de moi, je n'avais pas besoin de leur dire tout ca, ils me connaissaient déjà par cœur. Là, c'était différent. Je ne ressentais aucunes gènes, c'était même plutôt une expérience agréable.
L'après midi, nous étions donc partis en mer. C'était une toute première pour moi. Et plus le temps passait, plus Mahé arrivait à rendre mon voyage extraordinaire. J'ai appris qu'il y avait d'autres personnes hormis Ana et Lawson, et que le nouveau pouvait parfois avoir du bon. Un vendredi soir, alors qu'on s'était donné rendez-vous au tombée de la nuit près du vieux port, il m'avait annoncé qu'il allait partir pour deux semaines en Angleterre pour un voyage d'été. C'est alors qu'il a attrapé ma main, j'ai légèrement sursauté sous la surprise, ayant proscrit tout contact physique pour le moment.

« Tu sais, je suis vraiment triste de partir. Ça va me manquer de ne plus voir ta tête tout les jours. » Il imitait une grimace, je sourit légèrement. Il fit un pas en avant, se penchais vers moi. Et c'est comme si à cet instant précis, on m'avais arraché le cœur. Mahé était amoureux de moi, ca crevais les yeux. Je ne l'avais pas vu parce que je l'avais vu comme l'ami que je n'avais jamais eu et que je n'aurais plus jamais. J'avais été une réelle idiote. Je baisais les yeux et secouais légèrement la tête et reculant légèrement. Il ne se démontais pas pour autant. « C'est que... Aelis, je voulais te dire... » « Non, ne dit rien. » Il se figeait et une lueur d'interrogation se lissait dans ses yeux. « Je suis désolé Mahé. Tu es vraiment quelqu'un de génial, mais... ce serait une horrible erreur... » Quelque chose venait de se briser dans ses traits. Je l'aurais attrapais et serrer dans mes bras jusqu'à l'étouffer si j'avais si que ca changerais quelque chose, sauf que ca ne changerait rien. Je venais de lui briser le cœur comme Elias avait briser le mien. « Je suis vraiment désolé Mahé. » Désolé parce qu'à cette instant, je venais de comprendre pourquoi ce n'était pas possible. Et que la main que je devais tenir ne devait pas être la sienne. Ce n'était pas lui que je voulais. C'était celui que j'avais embrasser, il y a de ca des mois. Je m'approchais de lui, glissais mes mains dans mon dos et posais ma tête contre son épaule. Puis sans aucuns mots, me reculais de quelques pas, lâchant sa main au dernier moment et partit sans me retourner.


J'y était, ca y est. La Russie, Saint-Saint-Pétersbourg. Le rêve d'un nouveau départ, d'une nouvelle vie aussi ? Encore quelques jours avant, j'étais à Brest, et puis maintenant là. Le fait est, qu'un après midi pluvieux, j'avais été prise en train de me servir gratuitement dans un magasin. Direction le poste de police, qui a découvert que ma présence dans la région n'avait rien de très légal. J'avais eu une semaine pour quitter le pays. Et ca me tuais, parce que Mahé ne rentrait d'Angleterre que le lendemain de mon départ. J'ai été trouvée son grand-père et lui ai confié une enveloppe ou j'avais vaguement griffonnée des excuses et des remerciements à l'intérieur. Je n'avais même pas oser l'appeler au téléphone ou braver les lois en me cachant quelques jours de plus. J'avais été lâche.
Finalement, j'avais laborieusement réussie à partir pour la Russie. Prochain lieu de rendez-vous du trio. Ana avait découvert un lieu où vivre, un certain squat d'un vieil immeuble.
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MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 16:15

POSEÏREEEEEEEEEEEEEEEEEX louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4086640091 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 412401464 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4039564579


*retourne à se préso* louANGE ► and you may tell me to run, run now. 1317810029
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Aelis-Louange Beresford
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« Aelis-Louange Beresford »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : aelis-louange beresford
→ ÂGE : vingt deux ans
→ PAPIERS : 165
→ LIEU DE RÉSIDENCE : saturne
→ SITUATION : en relation libre avec canabis
→ BOULOT : uc



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 16:34

    NOUINOUILLE NUDISTEEEEEEEEEEE louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3564577885 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4205929361 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 412401464
    BWARF SQUOI CE NOM DE FAMILLE ??! louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515 *est morte sur le champ, ca y est*
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MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 16:37

Oui tu as vu ? louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060

Nous faudra un lien de la mort qui tue hein ? *-*
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Aelis-Louange Beresford
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« Aelis-Louange Beresford »
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MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 16:40

    Ouai et je sens que je vais pas resister bien longtemps à aller faire ma curieuse dans ta présa. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4153354820
    Genre, comme si c'était possible autrement. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2774444739
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Kaytlin E.L Swann-Payne
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« Kaytlin E.L Swann-Payne »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : kaytlin elizabeth lula swann-payne.
→ ÂGE : 20 ans.
→ PAPIERS : 1076
→ LIEU DE RÉSIDENCE : primorski
→ SITUATION : en couple? amoureuse en tout cas.
→ BOULOT : je sers, joue et chante dans un bar du centre ville. j'ai arrêté mes études en journalisme parce que je suis allée en taule. j'aimerai bien vivre de ma passion, la musique



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 17:26

EVEEEEER louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060
bienvenue iciiiiiii louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515 bonne chance pour ta fiche !
Tu nous a manqué aussi louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2774444739 I love you
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Hélios W. Davidovich
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« Hélios W. Davidovich »
Masculin
→ NOMS COMPLETS : Hélios Wladimir Davidovich
→ ÂGE : 18 ans, j'suis vieux, merde..
→ PAPIERS : 766
→ LIEU DE RÉSIDENCE : Moskovski arround...
→ SITUATION : Charmeur comme je suis, mon coeur est libre et... Bref je suis célibataire quoi.
→ BOULOT : Lycéen, et emmerdeur à mes heures perdus.



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 17:31

Tonkin louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2774444739
Welcome louANGE ► and you may tell me to run, run now. 534202034
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MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 17:34

Bienvenue I love you
très bon choix d'avatar au passage (a)
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Iris-Teddy L. O'Callaghan
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« Iris-Teddy L. O'Callaghan »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Iris-Teddy, Lucky, Victoire, Charlie, O'Callaghan
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 369
→ LIEU DE RÉSIDENCE : St petersbourg - Le squat
→ SITUATION : Célibataire, vide de sentiments, complètement seule. So Lonely ... Mais heureusement, y a Hélios sur la CB !
→ BOULOT : Organisatrice d'évènement, spécialement les mariages & conseillère en image.



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 17:45

EVERCLEM, MA LOULOUTE VIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIP !!! louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2176505670 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 760157971 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 412401464 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3574378608 I love you louANGE ► and you may tell me to run, run now. 94947637 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2131143800
Comment tu m'as manqué !!! louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2774444739 Heureusement les sms ça existe ! Arrow

Bordel, ce pseudo est plus qu'orgasmique et puis, Phoebe louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2774444739 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2729217173
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Aelis-Louange Beresford
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« Aelis-Louange Beresford »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : aelis-louange beresford
→ ÂGE : vingt deux ans
→ PAPIERS : 165
→ LIEU DE RÉSIDENCE : saturne
→ SITUATION : en relation libre avec canabis
→ BOULOT : uc



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 18:09

    MA ROSE louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060 Merci beaucoup mademoiselle monnouveaupersoestpirequesexy. Et puis bah, tu sais quoi en fait, le papa noël il va m'apporter le dvd de KEV ADAMS, t'es jalouse t'es jalouse heein. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4039564579

    logan louANGE ► and you may tell me to run, run now. 456023687 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 412401464 Bon hein, c'est pas discutable. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4153354820
    Merci bien Hélios. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2176505670

    Lou, je suis amoureuse de ton pseudo, il va super bien à diannamagnifique je trouve. I love you Bref. Merci ma belle.

    AURECHA DE MON CŒUR !! louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2211252749 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4205929361 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060
    Putain toi aussi. Et ouai t'as raison, qu'est ce qu'on feraient sans ? louANGE ► and you may tell me to run, run now. 1881463262 D'ailleurs, ca me fais pensée que j'ai oubliée mon téléphone dans la voiture, cette histoire... Arrow OSEF. Tu peux causer, toi et troian. :dead: Qu'est ce que tu veux, j'ai une réputation à tenir. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4153354820
    Ma plus belle, j'ai pensée à toi en matant la belle et la bête dans mon chalet perdu à la montagne, quand on voyait en gros plan HOPEEE. :cutie: Enfin voilà quoi.

    louANGE ► and you may tell me to run, run now. 509397055 Nom d'une girafe constipée, ce smiley pète trois pattes à un mouton.
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Kaytlin E.L Swann-Payne
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« Kaytlin E.L Swann-Payne »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : kaytlin elizabeth lula swann-payne.
→ ÂGE : 20 ans.
→ PAPIERS : 1076
→ LIEU DE RÉSIDENCE : primorski
→ SITUATION : en couple? amoureuse en tout cas.
→ BOULOT : je sers, joue et chante dans un bar du centre ville. j'ai arrêté mes études en journalisme parce que je suis allée en taule. j'aimerai bien vivre de ma passion, la musique



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 19:25

OH OUI JE SUIS JALOUSEUH ! on le regardera ensemble louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2656539503 (je ne sais pas encore comment Rolling Eyes)
merci pour le nouveau persoooooo ** t'es bien dans le même genre toi louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060
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Levannà A.T. Novacek-Levy
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« Levannà A.T. Novacek-Levy »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Levannà Alice Thaïs Novacek-Levy - Mes parents ne pouvaient pas tomber d'accord entre le Russe et le Français... -
→ ÂGE : 21 ans
→ PAPIERS : 1090
→ LIEU DE RÉSIDENCE : Moskovski
→ SITUATION : Célibataire
→ BOULOT : Travaille chez un photographe en développement de pellicules.



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 21:05

BSF MON AMOUR louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2211252749 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2931871781 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4153354820 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 412401464
T'es absolument sexy avec cet avatar et ton pseudo est juste canon *O*
Merci d'être de retour, t'es une déesse ! Bonne continuation pour ta fiche de malade louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4039564579
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https://insidemysquat.1fr1.net

Aelis-Louange Beresford
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« Aelis-Louange Beresford »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : aelis-louange beresford
→ ÂGE : vingt deux ans
→ PAPIERS : 165
→ LIEU DE RÉSIDENCE : saturne
→ SITUATION : en relation libre avec canabis
→ BOULOT : uc



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 21:10

    Ouai, on va faire ca. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4153354820



    HAN BSF louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2211252749 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2729217173
    C'est parce que je prends exemple sur toi, toujours...

    Merci beauté. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 412401464
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Maxence Smith-Thomson
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« Maxence Smith-Thomson »
Masculin
→ NOMS COMPLETS : Maxence Jeremiah Smith-Thomson
→ ÂGE : 20 ans
→ PAPIERS : 292
→ LIEU DE RÉSIDENCE : le squat
→ SITUATION : célibataire
→ BOULOT : garagiste



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 21:20

MARCMARCMARCMARCMARC louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3574378608 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3574378608 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515 (je te le retourne Cool )
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MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 22:27

REINE DES DAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060 I love you louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515

Rebienvenue & bonne chance pour ta fiche louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060
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Iris-Teddy L. O'Callaghan
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« Iris-Teddy L. O'Callaghan »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Iris-Teddy, Lucky, Victoire, Charlie, O'Callaghan
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 369
→ LIEU DE RÉSIDENCE : St petersbourg - Le squat
→ SITUATION : Célibataire, vide de sentiments, complètement seule. So Lonely ... Mais heureusement, y a Hélios sur la CB !
→ BOULOT : Organisatrice d'évènement, spécialement les mariages & conseillère en image.



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 22:32

Aelis-Louange B Beresford a écrit:


AURECHA DE MON CŒUR !! louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2211252749 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4205929361 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060
Putain toi aussi. Et ouai t'as raison, qu'est ce qu'on feraient sans ? louANGE ► and you may tell me to run, run now. 1881463262 D'ailleurs, ca me fais pensée que j'ai oubliée mon téléphone dans la voiture, cette histoire... Arrow OSEF. Tu peux causer, toi et troian. :dead: Qu'est ce que tu veux, j'ai une réputation à tenir. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4153354820
Ma plus belle, j'ai pensée à toi en matant la belle et la bête dans mon chalet perdu à la montagne, quand on voyait en gros plan HOPEEE. :cutie: Enfin voilà quoi.


Mais carrément, quelle sublime invention, le portable ! hihihi. On ferais .... scratch RIEN !! louANGE ► and you may tell me to run, run now. 1317810029 Va chercher, va chercher le portable dans la voiture, faut pas qu'il attrape froid ! Arrow
Quoi Troian ? Phoebe est trois fois plus jolie je te ferais remarquer ! Non, mais carrément, fallait trouver égal ou mieux que Bilson et faut dire elle met la barre haute celle-là ! louANGE ► and you may tell me to run, run now. 1881463262
Haon, j'étais devant ma télé aussi ! louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060 T'as pensé à moi louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515 Arrow Mon ancien pseudo louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060
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O-H Lawson Parsons
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« O-H Lawson Parsons »
Masculin
→ NOMS COMPLETS : Olly-Harold Lawson Parsons
→ ÂGE : 23 années
→ PAPIERS : 128
→ LIEU DE RÉSIDENCE : ton coeur. ton âme. ton lit.
→ SITUATION : célibataire!
→ BOULOT : barman quelques soirs.



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 23:06

    je t'aime plus que tout le monde ne t'aime. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 337664734
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MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyDim 25 Déc - 23:19

louANGE ► and you may tell me to run, run now. 44221

T'es chou ma reine des da louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060
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Aelis-Louange Beresford
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« Aelis-Louange Beresford »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : aelis-louange beresford
→ ÂGE : vingt deux ans
→ PAPIERS : 165
→ LIEU DE RÉSIDENCE : saturne
→ SITUATION : en relation libre avec canabis
→ BOULOT : uc



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyLun 26 Déc - 10:08

    PAAAAAAAAAARC. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2272824953 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060

    Merci infiniment, noble reine des da. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515
    ps; t'es toujours verte, tu t'accroches hein. Bon celui là, il ne sera pas caca d'oie parce que je le serais aussi. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 337664734

    J'avoue on ferait rien, ce serait complétement déprimant d'ailleurs. Arrow Eurk, j'ai été vérifié dans la voiture et il n'y est pas, je l'ai déjà perdue jfnednazhkoe. J'en reviens pas.... ( 3615 ma life bonjouur )
    Heu... peut être mais bon Troian quand même quoi. Contente de m'en sortir haut la main, alors. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 1881463262
    Sérieux, t'as regardée aussi ? louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060 Bah en fait, je me disais que ca allait me rappeler des souvenirs d'enfance, mais au final, j'ai rien pigée. Je sais pas si c'était le fait que mon cerveau était complétement ramolli ou que je fasse des mots cassés ( Arrow ) en même temps...
    Bien sur que j'ai pensée à toi, hope quoi. I love you

H-O Lawson Parsons a écrit:
    je t'aime plus que tout le monde ne t'aime. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 337664734
    louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060
    C'est bon à prendre. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 337664734


    Aarg j'espérais que vous l'aviez oubliée celui là. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 1411664268


    Promis, je songe à arrêter de prendre ma présentation pour une plate forme de flood. Promis, je songe. What a Face
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MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyLun 26 Déc - 11:06

Oh la jolie Madame ! louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515
Bienvenue bon courage pour la suite de ta fiche louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2131143800
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Iris-Teddy L. O'Callaghan
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« Iris-Teddy L. O'Callaghan »
Féminin
→ NOMS COMPLETS : Iris-Teddy, Lucky, Victoire, Charlie, O'Callaghan
→ ÂGE : 23 ans
→ PAPIERS : 369
→ LIEU DE RÉSIDENCE : St petersbourg - Le squat
→ SITUATION : Célibataire, vide de sentiments, complètement seule. So Lonely ... Mais heureusement, y a Hélios sur la CB !
→ BOULOT : Organisatrice d'évènement, spécialement les mariages & conseillère en image.



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyLun 26 Déc - 11:14

Aelis-Louange B Beresford a écrit:


J'avoue on ferait rien, ce serait complétement déprimant d'ailleurs. Arrow Eurk, j'ai été vérifié dans la voiture et il n'y est pas, je l'ai déjà perdue jfnednazhkoe. J'en reviens pas.... ( 3615 ma life bonjouur )
Heu... peut être mais bon Troian quand même quoi. Contente de m'en sortir haut la main, alors. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 1881463262
Sérieux, t'as regardée aussi ? louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060 Bah en fait, je me disais que ca allait me rappeler des souvenirs d'enfance, mais au final, j'ai rien pigée. Je sais pas si c'était le fait que mon cerveau était complétement ramolli ou que je fasse des mots cassés ( Arrow ) en même temps...
Bien sur que j'ai pensée à toi, hope quoi. I love you

Mais carrément, t'imagines qu'on se parle que quand t'as un ordinateur à disposition. T'aurais pas les potins de la semaine, je pourrais pas te prévenir de certain truc, genre l'ouverture de SMM, le changement de design sur RTD, tout ça quoi ... Tu risquerais de mourir d'impatience, heureusement que je suis là Cool Mais, non tu n'as pas pu le perdre, vu que tu m'as envoyé des messages pendant que tu étais sur la route, voyons, il peut pas être loin ! Tu as regardé tout partout ?
Bon, d'accord, Troian... Mais, faut avouer que les avatars de Phoebe sont vachement mieux que ceux de Troian louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4170629200 Bah, oué. même si j'ai les dvds, je regarde quand même. T'as rien compris ? Quoi ? Mais t'es courgette ou quoi ? C'est l'amooooour Arrow Les mots casés, c'est un truc à te retourner le cerveau, qu'elle idée t'es passé par la tête, franchement !!! scratch Oué, Hope, mais je préfére quand même Tender Kangaroo, parce que les KANGOOOOUROOOOUS ! louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3564577885
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MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyLun 26 Déc - 11:24

MON EX MEILLEURE AMIE MEUTRIERE QU'A LE MEME PRENOM IRL QUE MOI louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060 I love you louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515
T'es canon avec Phoebe, et ton pseudo louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2131143800
Je t'aime fort fort ma ever louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2729217173
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MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyLun 26 Déc - 13:49

J'peux pas perdre toutes mes habitudes, enfin. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 337664734
Mais ce vert là me chiffonne quand même. Pas assez Aly, encore Arrow
Et c'était pas un vert caca d'oie, bitch louANGE ► and you may tell me to run, run now. 1411664268

J'suis allée te le chercher exprès sur rtd et tout louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060
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Aelis-Louange Beresford
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« Aelis-Louange Beresford »
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→ NOMS COMPLETS : aelis-louange beresford
→ ÂGE : vingt deux ans
→ PAPIERS : 165
→ LIEU DE RÉSIDENCE : saturne
→ SITUATION : en relation libre avec canabis
→ BOULOT : uc



MessageSujet: Re: louANGE ► and you may tell me to run, run now.   louANGE ► and you may tell me to run, run now. EmptyLun 26 Déc - 20:19

    " demoiselle " mon cher. What a Face
    JULIAN OHMONDIEU louANGE ► and you may tell me to run, run now. 3334638515 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 4039564579 louANGE ► and you may tell me to run, run now. 412401464
    Merci beaucoup à toi. I love you

    Ouai, ce serait la déprime, Aurécha. :s Je l'ai retrouvée ce soir en fait, il était sur le bar caché dans un sac plastique. Arrow Les mots cassés ont du me rendre courgette ouai. Bah quand j'ai eu mon otite, je me fessais trop chier la journée alors je piquais le bouquins de mots cassés de ma mère et je suis devenue accro. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 1881463262 Les deux gèrent du poulet. I love you

    Nom d'un troupeau de gnou, c'est quoi ce forum de malades là ? En plus dans la voiture, je me disais qu'il fallait que j'arrive à vous rapatrier ici toi et Roxou. Nan mais voilà quoi, c'est trop génialissime. Comme je t'aime je t'aime fort également ! Merci ma belle. I love you Et puis d'ailleurs, je te signale que c'est toi la meurtrière dans l'histoire hein, on était d'accord. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 337664734

    Ouai, du vert sans Aly Stones, se serait genre la fin du monde avant l'heure. Moi je trouve qu'il te va tout aussi bien au teint. What a Face Sisi, on le sais tous. (a) Qu'elle attention délicate. louANGE ► and you may tell me to run, run now. 2124793060
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